Patreon se propose comme une nouvelle source de sociofinancement pour des petits projets artistiques.
Peut-être que les photographes artistiques émergents pourront ajouter cet outil aux autres qui leurs sont offert par le RCAAQ.
lundi 25 janvier 2016
mercredi 13 janvier 2016
dimanche 10 janvier 2016
Les catalogues d'IKEA sont réalisés à 75 % en images de synthèse
La compagnie qui contribue à cette performance explique l'évolution de cette philosophie à travers les dernières années.
Afin d'éviter les frais d'expéditions de prototypes à travers le monde, IKEA trouve plus simple d'expédier les fichiers 3D des différents produits qu'ils comptent vendre. Ainsi, selon le pays, on peut créer des images adaptées aux diverses réalités culturelles. En Asie, on remplace les Caucasiens par des Asiatiques et ainsi de suite.
Il semble que les humains ne sont pas encore des modèles de synthèse. Ceux qui ont critiqué la qualité du produit fini ont souvent confondu les photos avec les images de synthèses trouvant les photos mal "synthétisées". C'est souvent le cas quand on demande à un public non averti d'identifier quelles pages couverture de magazines ont été photoshoppées.
Il est intéressant de constater qu'afin d'améliorer leurs rendus graphiques, les artistes 3D ont du prendre des cours de photographie. Il reste néanmoins que l'imagerie de synthèse est devenue un très sérieux compétiteur à la photographie de studio en particulier dans les commerces en ligne. Dans le milieu du cinéma, c'est partie intégrante de la production de planifier les images de synthèses et on ne parle pas ici de film comme Avatar, mais de films qui semblent anodins afin d'éviter des frais de construction de décors spéciaux ou afin de régler des petits problèmes visuels. Le coût des effets spéciaux baissant et la qualité devenant imperceptible, ce n'est plus une option, mais plutôt un impératif.
Est-ce que cela veut dire que l'on doit ajouter cette corde à notre arc et vivre un autre "trauma" technologique afin de survivre? Je ne crois pas dans ce cas. Évidemment, un studio qui peut offrir ce service en plus ne sera pas perdant. Certains studios de photo offrent ce genre de service depuis des années à Montréal.
Vers la fin des années 90, j'enseignais aux étudiants divers logiciels reliés à l'imagerie: Morph, Bryce 3D, QuarkXpress, Premiere. J'espérais les sensibiliser aux avenues que peut prendre la photographie lorsqu'elle est un élément d'un processus. Aujourd'hui on se concentre sur Photoshop, Lightroom et Premiere principalement. Il reste qu'une compréhension globale du rôle de la photographie au sein de la chaîne de production reste un atout selon moi.
Afin d'éviter les frais d'expéditions de prototypes à travers le monde, IKEA trouve plus simple d'expédier les fichiers 3D des différents produits qu'ils comptent vendre. Ainsi, selon le pays, on peut créer des images adaptées aux diverses réalités culturelles. En Asie, on remplace les Caucasiens par des Asiatiques et ainsi de suite.
insertion du logo du CVM sur Mars en 1997 par Martin Benoit |
Il semble que les humains ne sont pas encore des modèles de synthèse. Ceux qui ont critiqué la qualité du produit fini ont souvent confondu les photos avec les images de synthèses trouvant les photos mal "synthétisées". C'est souvent le cas quand on demande à un public non averti d'identifier quelles pages couverture de magazines ont été photoshoppées.
Il est intéressant de constater qu'afin d'améliorer leurs rendus graphiques, les artistes 3D ont du prendre des cours de photographie. Il reste néanmoins que l'imagerie de synthèse est devenue un très sérieux compétiteur à la photographie de studio en particulier dans les commerces en ligne. Dans le milieu du cinéma, c'est partie intégrante de la production de planifier les images de synthèses et on ne parle pas ici de film comme Avatar, mais de films qui semblent anodins afin d'éviter des frais de construction de décors spéciaux ou afin de régler des petits problèmes visuels. Le coût des effets spéciaux baissant et la qualité devenant imperceptible, ce n'est plus une option, mais plutôt un impératif.
Est-ce que cela veut dire que l'on doit ajouter cette corde à notre arc et vivre un autre "trauma" technologique afin de survivre? Je ne crois pas dans ce cas. Évidemment, un studio qui peut offrir ce service en plus ne sera pas perdant. Certains studios de photo offrent ce genre de service depuis des années à Montréal.
Vers la fin des années 90, j'enseignais aux étudiants divers logiciels reliés à l'imagerie: Morph, Bryce 3D, QuarkXpress, Premiere. J'espérais les sensibiliser aux avenues que peut prendre la photographie lorsqu'elle est un élément d'un processus. Aujourd'hui on se concentre sur Photoshop, Lightroom et Premiere principalement. Il reste qu'une compréhension globale du rôle de la photographie au sein de la chaîne de production reste un atout selon moi.
mercredi 6 janvier 2016
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