samedi 13 septembre 2014

Quand un hobbie devient un outil professionnel


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Photo Service, Lozeau annoncent qu'ils ont des drones Phantom de disponibles. Vistek et The Camera Store à Calgaray de même. Vistek prend bien soin d'aviser sa clientèle que ces drones ne sont que pour usage récréatif et qu'autrement il faut se procurer un permis de Transport Canada.

Lozeau mentionne qu'ils ne sont pas responsables des conséquences de l'utilisation de ces drones.
Le gouvernement est spécifique quant à l'obtention d'une licence d'utilisation.

http://www.tc.gc.ca/fra/aviationcivile/normes/generale-aviationloisir-uav-2265.htm

La règlementation mentionne que les drones doivent peser moins que 35 kg et être utilisé à des fins récréatives seulement sinon une autorisation doit-être obtenue si j'ai bien compris la littérature


http://www.reuters.com/video/2014/07/30/chinas-drone-king-says-the-revolution-de?videoId=329444760&videoChannel=5&channelName=Business
Cliquez sur l'image pour accéder à la page où est la vidéo
Quand est-ce qu'un usage récréatif devient un outil de travail? Évidemment, si vous recevez de l'argent pour son utilisation, c'est un outil de travail. Pourquoi, est-ce la notion d’usage récréatif qui détermine la nécessité d'obtenir une autorisation plutôt que les risques encourus par l’utilisation?

Les drones photographiques Phantom, qui sont tellement populaires ces jours-ci par leur faible prix versus leurs performances,  font émerger toutes sortes d'applications photographiques que ce soit en photographie architecturale, immobilière, reportages environnementaux, etc.

Je crois en la révolution visuelle que permettent les drones photographiques « domestiques ». Je crois aussi qu'on peut en faire un usage abusif et irresponsable. D'autres parts, j'espère que l'on n'utilisera pas ce prétexte afin de « censurer » les images importantes d'informations qu'ils peuvent produire.






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