samedi 29 janvier 2011
Conversation avec Gabor
La salle du Musée McCord était pleine, tant que certains n'ont pu rentrer ou ont du assister à la conférence debout. Gabor était présenté par ses amis et « disciples ». À la fin, le public a pu poser des questions.
Gabor a été enseignant au cégep du Vieux Montréal, juste avant que j'y sois étudiant. Je l'ai manqué d'un an ou presque. Plusieurs de mes collègues, l'ont eu comme collègue ou comme prof. Il a définitivement laissé une forte impression sur ceux qui l'ont côtoyé.
Je me suis plutôt concentré sur ce que disait Gabor, plutôt que sur les présentations que l'on faisait de lui. J'ai retenu, une certaine lenteur du geste photographique, une ouverture aux influences et une disponibilité envers les autres écoles de fonctionnement. Une disponibilité que je ne suis pas certain que tous les membres de l'audience partageaient en écoutant les questions qui espéraient, à l'occasion, faire sortir de la bouche du « maître » une déclaration relativement à l'argentique ou au grand format.
Ayant moi-même des racines photographiques dans les années 70, nous avons parcouru 40 ans d'histoire de la photographie québécoise, qui possède aujourd'hui sa propre histoire.
Gabor a été enseignant au cégep du Vieux Montréal, juste avant que j'y sois étudiant. Je l'ai manqué d'un an ou presque. Plusieurs de mes collègues, l'ont eu comme collègue ou comme prof. Il a définitivement laissé une forte impression sur ceux qui l'ont côtoyé.
Je me suis plutôt concentré sur ce que disait Gabor, plutôt que sur les présentations que l'on faisait de lui. J'ai retenu, une certaine lenteur du geste photographique, une ouverture aux influences et une disponibilité envers les autres écoles de fonctionnement. Une disponibilité que je ne suis pas certain que tous les membres de l'audience partageaient en écoutant les questions qui espéraient, à l'occasion, faire sortir de la bouche du « maître » une déclaration relativement à l'argentique ou au grand format.
Ayant moi-même des racines photographiques dans les années 70, nous avons parcouru 40 ans d'histoire de la photographie québécoise, qui possède aujourd'hui sa propre histoire.
photo Martin Benoit
jeudi 27 janvier 2011
Conférence d'Yvanoh Demers
Hier soir, avait lieu au Palais des Congrès, une conférence où Yvanoh Demers, photographe à La Presse, Chantal Guy, journaliste et Michèle Ouimet parlaient de leur expérience d'avoir couvert le tremblement de terre l'an dernier à Haïti.
Il faut se souvenir qu'Yvanoh et Chantal étaient déjà sur place lors du tremblement en train de faire un reportage sur un autre sujet. Donc, dans leur cas, l'expérience fut double. Vivre une catastrophe naturelle imprévue en faire face à ses propres émotions et ensuite couvrir de façon professionnelle une catastrophe de très près en négociant toujours avec ses propres émotions.
Maintenir une distance émotive semble avoir été la difficulté qu'ils ont rencontrée de sorte à rester un témoin de l'événement. Survivre à un tel désastre est un traumatisme en soi, réussir à traverser ses émotions et produire dans des conditions extrêmes un reportage de qualité est un exploit en soi. Dans ce genre de situation, probablement que nul ne peut prédire son comportement, mais le découvrir lors de l'événement et apprendre à mieux se connaître.
Ce que j'ai retenu, entre autres, est de toujours apporter des somnifères lors de reportages en terrain difficile, de sorte à pouvoir faire face reposé aux grandes difficultés propres à ce genre de travail.
Il faut se souvenir qu'Yvanoh et Chantal étaient déjà sur place lors du tremblement en train de faire un reportage sur un autre sujet. Donc, dans leur cas, l'expérience fut double. Vivre une catastrophe naturelle imprévue en faire face à ses propres émotions et ensuite couvrir de façon professionnelle une catastrophe de très près en négociant toujours avec ses propres émotions.
Maintenir une distance émotive semble avoir été la difficulté qu'ils ont rencontrée de sorte à rester un témoin de l'événement. Survivre à un tel désastre est un traumatisme en soi, réussir à traverser ses émotions et produire dans des conditions extrêmes un reportage de qualité est un exploit en soi. Dans ce genre de situation, probablement que nul ne peut prédire son comportement, mais le découvrir lors de l'événement et apprendre à mieux se connaître.
Ce que j'ai retenu, entre autres, est de toujours apporter des somnifères lors de reportages en terrain difficile, de sorte à pouvoir faire face reposé aux grandes difficultés propres à ce genre de travail.
Yvanoh Demrs et Chantal Guy. Photo extraite d'une capture vidéo réalisée par Martin Benoit
vendredi 21 janvier 2011
Qui est photographe?
Une agence de pub confie sa campagne à Sarah Smilely une fille de 16 ans.
Qui est photographe aujourd'hui? Qu'est-ce qu'un professionnel et en quoi un pro se différencie d'un amateur? Pour plusieurs la frontière est très floue, mais pour le pro, elle semble très claire.
En 1933, Kodak publiait cette publicité vantant la simplicité d'utilisation de ses appareils qui ne nécessitaient même pas d'apprendre la photographie. On est très loin de la démocratisation du numérique et d'Internet. Ce que la technologie et Internet a principalement démocratisé, c'est la capacité de générer une image aux caractéristiques techniques proches des besoins professionnels. Un amateur avec un peu d'argent peut générer un fichier de 22mp assez net s’il a une 5D mkII ou une Alpha 850 et qu'il a moindrement lu le manuel d'instruction. Mais est-ce que les agences de pub et les clients qui recherchent un professionnel, achètent des méga-pixels?
Ils paient pour une attitude professionnelle aussi. Respect des échéanciers, garantie du travail bien fait, respect des diverses lois entourant le droit photographique, relation de travail et inter-actions avec les divers intervenants professionnel. Une capacité d'adaptation technologique aux divers défis que peuvent poser une commande, une offre de service exhaustive, une facturation adéquate, etc. La liste des comportements professionnels est longue et c'est entre autres ce que nous enseignons à l'école et il faudrait en enseigner encore plus. Les étudiants après trois ans de photographie n'ont fait que la maternelle de la profession, il reste tant à apprendre sur le marché du travail qui n'est pas couvert en trois années.
Oui, la fabrication d'une image est parfois simplifiée techniquement avec la numérisation de la photographie et c'est une bonne nouvelle qui permet une évolution du langage plus rapidement en permettant à plusieurs d'avoir accès à un média qui leur était interdit pour des raisons financières ou des limitations technologiques, mais la photographie n'est pas qu'une simple capture d'image.
Oui, certains clients peuvent se contenter d'une capture d'image et prendre en charge le reste et c'est OK. La photographie n'appartient pas seulement aux photographes professionnels, elle appartient à tout le monde. Des enfants prodiges de la photographie il y en a et en aura toujours, nous en avons vu passer quelques-uns en quarante ans d'histoire de notre programme. Sarah deviendra probablement photographe et une bonne photographe si elle conserve sa passion et sa détermination. Est-ce que Sarah est une professionnelle? Certains diront que si elle a été rémunérée, elle est professionnelle. Dans dix ans, elle sera probablement beaucoup plus professionnelle qu'aujourd'hui.
La beauté et le calvaire de la photographie au Québec et presque partout, c'est que ce n'est pas une profession gérée par un ordre qui définit qui est photographe et quels sont les critères du professionnalisme. L'ordre des médecins, des ingénieurs ou des arpenteurs-géomètres contrôle et établie des lois très précises sur ces pratiques. Ces professions se trouvent tellement respectées, qu'il n'y a pas si longtemps, le gouvernement fédéral n'acceptait que la signature des professionnels de ces ordres et quelques autres pour valider une identification de passeport. J’étais photographe sportif pour mon école secondaire à l'âge de onze ans et ils me payaient mes films, ampoules flash au magnésium et un petit honoraire. Étais-je un professionnel?
J'en suis devenu un, mais pas le lendemain...
Qui est photographe aujourd'hui? Qu'est-ce qu'un professionnel et en quoi un pro se différencie d'un amateur? Pour plusieurs la frontière est très floue, mais pour le pro, elle semble très claire.
En 1933, Kodak publiait cette publicité vantant la simplicité d'utilisation de ses appareils qui ne nécessitaient même pas d'apprendre la photographie. On est très loin de la démocratisation du numérique et d'Internet. Ce que la technologie et Internet a principalement démocratisé, c'est la capacité de générer une image aux caractéristiques techniques proches des besoins professionnels. Un amateur avec un peu d'argent peut générer un fichier de 22mp assez net s’il a une 5D mkII ou une Alpha 850 et qu'il a moindrement lu le manuel d'instruction. Mais est-ce que les agences de pub et les clients qui recherchent un professionnel, achètent des méga-pixels?
Ils paient pour une attitude professionnelle aussi. Respect des échéanciers, garantie du travail bien fait, respect des diverses lois entourant le droit photographique, relation de travail et inter-actions avec les divers intervenants professionnel. Une capacité d'adaptation technologique aux divers défis que peuvent poser une commande, une offre de service exhaustive, une facturation adéquate, etc. La liste des comportements professionnels est longue et c'est entre autres ce que nous enseignons à l'école et il faudrait en enseigner encore plus. Les étudiants après trois ans de photographie n'ont fait que la maternelle de la profession, il reste tant à apprendre sur le marché du travail qui n'est pas couvert en trois années.
Oui, la fabrication d'une image est parfois simplifiée techniquement avec la numérisation de la photographie et c'est une bonne nouvelle qui permet une évolution du langage plus rapidement en permettant à plusieurs d'avoir accès à un média qui leur était interdit pour des raisons financières ou des limitations technologiques, mais la photographie n'est pas qu'une simple capture d'image.
Oui, certains clients peuvent se contenter d'une capture d'image et prendre en charge le reste et c'est OK. La photographie n'appartient pas seulement aux photographes professionnels, elle appartient à tout le monde. Des enfants prodiges de la photographie il y en a et en aura toujours, nous en avons vu passer quelques-uns en quarante ans d'histoire de notre programme. Sarah deviendra probablement photographe et une bonne photographe si elle conserve sa passion et sa détermination. Est-ce que Sarah est une professionnelle? Certains diront que si elle a été rémunérée, elle est professionnelle. Dans dix ans, elle sera probablement beaucoup plus professionnelle qu'aujourd'hui.
La beauté et le calvaire de la photographie au Québec et presque partout, c'est que ce n'est pas une profession gérée par un ordre qui définit qui est photographe et quels sont les critères du professionnalisme. L'ordre des médecins, des ingénieurs ou des arpenteurs-géomètres contrôle et établie des lois très précises sur ces pratiques. Ces professions se trouvent tellement respectées, qu'il n'y a pas si longtemps, le gouvernement fédéral n'acceptait que la signature des professionnels de ces ordres et quelques autres pour valider une identification de passeport. J’étais photographe sportif pour mon école secondaire à l'âge de onze ans et ils me payaient mes films, ampoules flash au magnésium et un petit honoraire. Étais-je un professionnel?
J'en suis devenu un, mais pas le lendemain...
mercredi 19 janvier 2011
Et vous pensiez qu'il fallait acheter vos tasses chez IKEA...
Des fois on peut vraiment être déconnecté...
Je me demandais où mes étudiants prenaient leurs tasses à café de photographes.
Canonmugs, le grand fournisseur de tasses Canon, Nikon et autre « paraphernalia »...
Ils ont oublié la tasse en forme de LensBaby ou encore la clé USB en forme de Lomo, Diana ou Holga pour le hipster photographe. (ne vous inquiétez pas, j'ai un LensBaby de première génération et un vrai Lomo made in USSR)
Il mes semble que je les utiliserais inversés. La stabilité ne me semble pas très bonne.
Je me demandais où mes étudiants prenaient leurs tasses à café de photographes.
Canonmugs, le grand fournisseur de tasses Canon, Nikon et autre « paraphernalia »...
Ils ont oublié la tasse en forme de LensBaby ou encore la clé USB en forme de Lomo, Diana ou Holga pour le hipster photographe. (ne vous inquiétez pas, j'ai un LensBaby de première génération et un vrai Lomo made in USSR)
Il mes semble que je les utiliserais inversés. La stabilité ne me semble pas très bonne.
samedi 15 janvier 2011
Oliviero frappe encore
Oliviero Toscani, plus connu pour ses fameuses pubs Benetton, frappe encore avec un calendrier illustrant des sexes féminins.
Le calendrier commandé par une maison de vêtement de cuir italien suscite la controverse auprès des féministes et diverses instances.
Démagogie publicitaire ou tentative de redressement de la représentation de la femme?
Le calendrier commandé par une maison de vêtement de cuir italien suscite la controverse auprès des féministes et diverses instances.
Démagogie publicitaire ou tentative de redressement de la représentation de la femme?
jeudi 13 janvier 2011
Découverte des négatifs de Vivian Maier
Un agent immobilier découvre les milliers de négatifs d'une photographe de rue peu connue, mais à l'excellent travail.
samedi 8 janvier 2011
Polaroid, Lady Gaga et Chase Jarvis
Chase Jarvis parle de l'impact de la nouvelle collection d'appareils photo de Polaroid et des grands changements de la photographie aujourd'hui.
vendredi 7 janvier 2011
Samedi le 15 vernissage de Nathalie Daoust à Sherbrooke
Frozen in Time, Switzerland – Entre inquiétude et légèreté
Vernissage - Samedi 15 janvier à 17h
À compter du samedi 15 janvier prochain, le Musée des beaux-arts de Sherbrooke présente l’exposition des œuvres de la photographe québécoise, Nathalie Daoust.
Frozen in Time, Switzerland – Entre inquiétude et légèreté réunit une trentaine de photographies de cette artiste qui a participé à plusieurs expositions individuelles et collectives au Canada, aux États-Unis, en Angleterre et au Japon et dont le travail fait l’objet de maintes publications et remportent plusieurs prix et bourses.
Le vernissage aura lieu le samedi 15 janvier à 17h, en présence de l’artiste. L’exposition se poursuivra jusqu’au 13 mars 2011.
Vernissage - Samedi 15 janvier à 17h
À compter du samedi 15 janvier prochain, le Musée des beaux-arts de Sherbrooke présente l’exposition des œuvres de la photographe québécoise, Nathalie Daoust.
Frozen in Time, Switzerland – Entre inquiétude et légèreté réunit une trentaine de photographies de cette artiste qui a participé à plusieurs expositions individuelles et collectives au Canada, aux États-Unis, en Angleterre et au Japon et dont le travail fait l’objet de maintes publications et remportent plusieurs prix et bourses.
Le vernissage aura lieu le samedi 15 janvier à 17h, en présence de l’artiste. L’exposition se poursuivra jusqu’au 13 mars 2011.
Rappel conférence sur les offres de service
source CAPIC
Objet : CAPIC Montréal : "Comment vendre plus cher que mes concurrents" | Conférence 19 janvier 2011
Le milieu de la photographie commerciale est plus compétitif que jamais, et il est tentant de vouloir tirer son épingle du jeu en abaissant ses prix.
Grave erreur! nous expliquera Alain Samson, MBA, auteur, conférencier et formateur en management, qui a adapté, à l’invitation de CAPIC Montréal, le contenu de sa populaire conférence « Comment vendre plus cher que mes concurrents » aux spécificités de la réalité économique des pigistes de la photographie et des communications.
L'undercutting ne profite à personne, et il est possible de développer une clientèle rentable en dépit des gestes irresponsables de vos concurrents. Venez entendre comment. Il s'agit d'une belle résolution pour commencer la nouvelle année rentable!
Achetez votre billet en ligne dès maintenant (places limitées):
http://capic.eventbrite.com
Les inscriptions avant le 12 janvier bénéficient d'un rabais de 10%.
Pour plus de détails sur l'événement:
http://tinyurl.com/2b3pwac
Cet événement est organisé par CAPIC Montréal avec la participation de Studio4Fun http://www.studio4fun.ca), PhotoService (http://www.photoservice.ca) et PhotoLab Yves Thomas (http://www.ytlab.com)
Adressez vos questions à :
Hai Au Bui | Responsables des événements CAPIC Montréal
evenements@capicmontreal.ca
514-384-9115
Objet : CAPIC Montréal : "Comment vendre plus cher que mes concurrents" | Conférence 19 janvier 2011
Le milieu de la photographie commerciale est plus compétitif que jamais, et il est tentant de vouloir tirer son épingle du jeu en abaissant ses prix.
Grave erreur! nous expliquera Alain Samson, MBA, auteur, conférencier et formateur en management, qui a adapté, à l’invitation de CAPIC Montréal, le contenu de sa populaire conférence « Comment vendre plus cher que mes concurrents » aux spécificités de la réalité économique des pigistes de la photographie et des communications.
L'undercutting ne profite à personne, et il est possible de développer une clientèle rentable en dépit des gestes irresponsables de vos concurrents. Venez entendre comment. Il s'agit d'une belle résolution pour commencer la nouvelle année rentable!
Achetez votre billet en ligne dès maintenant (places limitées):
http://capic.eventbrite.com
Les inscriptions avant le 12 janvier bénéficient d'un rabais de 10%.
Pour plus de détails sur l'événement:
http://tinyurl.com/2b3pwac
Cet événement est organisé par CAPIC Montréal avec la participation de Studio4Fun http://www.studio4fun.ca), PhotoService (http://www.photoservice.ca) et PhotoLab Yves Thomas (http://www.ytlab.com)
Adressez vos questions à :
Hai Au Bui | Responsables des événements CAPIC Montréal
evenements@capicmontreal.ca
514-384-9115
L'exposition de Gabor se termine le 6 février
source Musée McCord
EXPOSITION RÉTROSPECTIVE : "L'éloquence du quotidien" a d'abord été présentée au Musée d'art de Joliette (2009) et au Musée des beaux-arts du Canada (2009-2010) qui l'ont coproduit, tout comme le catalogue. L'exposition est maintenant en tournée pancanadienne.*
L'exposition à Montréal se termine le 6 février prochain avant de reprendre sa route.
Une actualité :
LE JEUDI 27 JANVIER 2011, à 18 h au MUSÉE McCORD [www.musee-mccord.qc.ca] – 690, rue Sherbrooke Ouest
« CONVERSATION AVEC GABOR SZILASI »
Une rencontre privilégiée avec Gabor Szilasi, des artistes et amis qui parleront de son oeuvre photographique.
Invités : trois artistes de trois générations différentes
-Michel Campeau [www.agencered.ca/Campeau + www.galeriesimonblais.com/fr/artiste/michelcampeau], photographe,
-Aislinn Leggett [www.aislinnleggett.com], photographe,
-Leo Rosshandler [www.viedesarts.com/218/art_02.html], peintre et conservateur à la retraite.
Modérateurs : David Harris, commissaire de l'exposition et Hélène Samson, conservatrice de la photographie, Musée McCord.
ACTIVITÉ GRATUITE. PLACES LIMITÉES.
EXPOSITION RÉTROSPECTIVE : "L'éloquence du quotidien" a d'abord été présentée au Musée d'art de Joliette (2009) et au Musée des beaux-arts du Canada (2009-2010) qui l'ont coproduit, tout comme le catalogue. L'exposition est maintenant en tournée pancanadienne.*
L'exposition à Montréal se termine le 6 février prochain avant de reprendre sa route.
Une actualité :
LE JEUDI 27 JANVIER 2011, à 18 h au MUSÉE McCORD [www.musee-mccord.qc.ca] – 690, rue Sherbrooke Ouest
« CONVERSATION AVEC GABOR SZILASI »
Une rencontre privilégiée avec Gabor Szilasi, des artistes et amis qui parleront de son oeuvre photographique.
Invités : trois artistes de trois générations différentes
-Michel Campeau [www.agencered.ca/Campeau + www.galeriesimonblais.com/fr/artiste/michelcampeau], photographe,
-Aislinn Leggett [www.aislinnleggett.com], photographe,
-Leo Rosshandler [www.viedesarts.com/218/art_02.html], peintre et conservateur à la retraite.
Modérateurs : David Harris, commissaire de l'exposition et Hélène Samson, conservatrice de la photographie, Musée McCord.
ACTIVITÉ GRATUITE. PLACES LIMITÉES.
photo Gabor Szilasi
mardi 4 janvier 2011
Le collodion revisité
Ian Ruhter: Capturing Motion on Wetplate from What the Fleet on Vimeo.
Eadweard Muybridge was the first person to successfully photograph a subject in fast motion in 1878.
Ian Ruhter sets out to become the only other person to accomplish this since since then, using wet plate photography.
Thanks to Skateboarder, Levi Brown and to The Deadly Syndrome for their awesome music.
Merci Carl-Antoine
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