photo Valerian Mazataud |
Vernissage le 22 février
"Ce projet s’attache à traduire la mémoire et la perte des réfugiés syriens dans le nord de la Jordanie. Souvenirs des temps meilleurs et des atrocités, mémoire de la vie d’avant, des objets que l’on a pu sauver dans les décombres, traumatisme des événements vus et subis. Perte physique, émotionnelle, sentimentale."
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