Il n'était pas clair pourquoi le gouvernement édictait des consignes et règlements à l'égard des drones photographiques doit-on spécifier. Dans un article de La Presse du 26 février, on mentionne que la GRC suspecte que les drones soient utilisés afin de faire du prélèvement photographique d'informations sur des installations visées par des terroristes. Les photos ou vidéos ainsi obtenus de ces points de vue inaccessibles autrement pourraient servir à planifier des attentats futurs.
Il semblerait que « le taux élevé de neutralisation de complots mettant en cause des UAV (véhicules aériens sans pilotes) empêche de déterminer si ce type d'attentats a des chances de se concrétiser », selon un document obtenu par La Presse selon la loi de l'accès à l'information.
C'est un peu comme si on règlementait l'utilisation des super téléphotos. Il faut préciser que les drones photo sont beaucoup moins chers et que leur portée est incomparable.
La règlementation actuelle, sujette à changement, est qu'il est permis de faire voler un drone s’il pèse moins de 77 lb (35 kg) à des fins récréatives. Il doit rester dans votre champ de vision, de jour, à plus de 150 m d'humains, structures, véhicules et animaux.
C'est toujours la même problématique : le poids entre la protection contre une plausibilité d'incidents réduits versus les bienfaits des autres utilisations.
Le New York City Drone Festival donne un aperçu des quelques bons films produits avec cette nouvelle technologie. Ce film est celui qui a remporté le premier prix dans la catégorie Architecture. C'est un survol des structures abandonnées aux alentours de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine après l'incident en 1986.
NYCDFF 2015 ARCHITECTURE WINNER : THE FALLOUT from NYCDFF on Vimeo.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire