mercredi 28 octobre 2015
Dernier vidéo-clip d'Adele et répondre à une commande.
Hello, le dernier vidéo-clip d'Adele a dépassé tous les records de diffusion.
Des informations relatives à la production de ce clip historique, en terme d'audience, commencent à couler. Certaines prises tournées en IMAX 70mm, faisant de ce clip le premier vidéo-clip utilisant des caméras IMAX. Le reste tourné en pellicule 35mm utilisant des objectifs ultra lumineux afin de produire des hors foyers spectaculaires.
Réalisé par Xavier Dolan et le directeur photo André Turpin, le clip présente une signature très sensuelle, très physique où le visage d'Adele est mis de l'avant par la lumière, les points de vue et les optiques flatteurs.
La rumeur veut que toutes les prises de vues aient été réalisées à l'aide d'optiques Vantage T1 à f1,0. Un beau catalogue pour le manufacturier. Si vous explorer le site de Vantage, vous verrez que les défauts optiques peuvent devenir des qualités recherchées pour certains.
Est-ce trop compte tenu du résultat final? Plusieurs ont critiqué la qualité narrative du clip. Xavier Dolan lui-même admet que l'histoire n'est pas exceptionnelle, voire ordinaire. Mais quel est le but de cette vidéo ultimement?
Du point de vue commercial, il y a différents mandats. Présenter la nouvelle Adele qui a perdu du poids, présenter Adèle qui pousse sa voix qui est une signature de son style et finalement, illustrer une histoire d'amour manquée. Le tout de façon grandiose et différente afin de ne pas passer inaperçu dans la marée de vidéo-clips.
Ce n'est peut-être pas les clips de Michael Jackson réalisés par Martin Scorsese, qui étaient simultanément des mini productions hollywoodiennes, jumelant qualité narrative, présentation de chorégraphies et montage rythmique. Je ne connais pas les budgets de Scorsese, mais je me doute qu'ils étaient, toutes proportions considérées, plus élevées que celui de Dolan.
Abstraction de tous les aspects techniques et du fait que c'est Adele, qui était absente depuis plusieurs années, je trouve que c'est réussi au niveau texture et stylistique.
vendredi 23 octobre 2015
Marché aux puces photo, ce dimanche
photo Martin Benoit |
Qui trouvera quoi?
Au meilleur la première pige.
Au Holliday Inn, 6700 autoroute Transcanadienne à Pointe-Claire.
Dimanche le 25 de 10 h à 15 h.
samedi 17 octobre 2015
Photoshelter publie son résumé du retour vers l'argentique
tiré du site Photoshelter |
Les compagnies qui travaillent à sa survie, les appareils mythiques et les perspectives d'avenir.
Qu'en est-il à Montréal d'un point de vue professionnel?
dimanche 11 octobre 2015
lundi 5 octobre 2015
L'après incident Jacques Nadeau
Depuis l'annonce du vol des disques durs de Jacques Nadeau, photographe au Devoir, beaucoup de photographes ont peaufiné leur stratégie d'archivage en commençant par moi-même.
Deux choses sont ressorties de cette terrible mésaventure de Jacques. Primo, il est essentiel d'avoir ses fichiers à deux places différentes et secundo, des voleurs peuvent être intéressés par vos disques durs aussi surprenant que cela puisse paraître.
Dans mon cas, j'ai toujours des fichiers qui ne sont pas à deux places différentes et ce sont mes plus récents. Ils sont sur deux disques différents, mais pas en deux lieux différents. J'attends que ma dernière paire de disques miroirs (RAID 1) soit pleine pour remiser un des disques en lieu sûr. Selon la nature de mes prises de vues et captations, il se peut que des mois passent avant que le second disque soit prêt à être déplacé. Ce que j'ai décidé de faire est d'expédier des JPG pleine résolution de mes "Best of" sur un serveur temporaire.
Souvent quand vous payez pour de l'hébergement web vous disposez d'un espace FTP illimité ou presque. J'utilise cette espace temporairement en cas d'un désastre. Ce ne sont pas des RAW, mais ce sont des JPG peu compressés de mes meilleures. Je ne peux imaginer déplacer des gigs et des gigs de RAW par Internet même à 20 mégabits/sec.
Les Dropbox, Google Drive, SkyDrive et iCloud peuvent servir à ces fins comme dépannage. Reste que c'est une routine à développer.
Ma séquence est la suivante:
1- Copie des mes RAW sur mon disque interne
2- Ajout des métadonnées à l'aide de Photo Mechanic v5, car il imbrique les métadonnées dans les RAW originaux. Je ne fais pas de DNG.
3- Sélections de mes "meilleures" et affichage d'uniquement de mes meilleures.
4- cmd-u (qui signifie, FTP les fichiers en tant que...). J'ai programmé ce cmd-u de faire des JPG pleine résolution et de les expédier vers mon serveur externe qui s'adonne être au Utah.
5- Copie de ce dossier contenant métadonnées et sélections vers mes disques jumeaux d'archivage.
6- Lightroom "ajoute" à son catalogue les dernières images.
7- Media Pro ajoute aussi à son catalogue les dernières images. Media Pro car il est plus rapide quand je cherche des images, mais je ne peux les "développer" à mon goût. C'est pour ça Lightroom.
Qu'en penserait Peter Krogh le père de l'archivage auteur du DAM Book?
Deux choses sont ressorties de cette terrible mésaventure de Jacques. Primo, il est essentiel d'avoir ses fichiers à deux places différentes et secundo, des voleurs peuvent être intéressés par vos disques durs aussi surprenant que cela puisse paraître.
Dans mon cas, j'ai toujours des fichiers qui ne sont pas à deux places différentes et ce sont mes plus récents. Ils sont sur deux disques différents, mais pas en deux lieux différents. J'attends que ma dernière paire de disques miroirs (RAID 1) soit pleine pour remiser un des disques en lieu sûr. Selon la nature de mes prises de vues et captations, il se peut que des mois passent avant que le second disque soit prêt à être déplacé. Ce que j'ai décidé de faire est d'expédier des JPG pleine résolution de mes "Best of" sur un serveur temporaire.
Souvent quand vous payez pour de l'hébergement web vous disposez d'un espace FTP illimité ou presque. J'utilise cette espace temporairement en cas d'un désastre. Ce ne sont pas des RAW, mais ce sont des JPG peu compressés de mes meilleures. Je ne peux imaginer déplacer des gigs et des gigs de RAW par Internet même à 20 mégabits/sec.
Les Dropbox, Google Drive, SkyDrive et iCloud peuvent servir à ces fins comme dépannage. Reste que c'est une routine à développer.
Ma séquence est la suivante:
1- Copie des mes RAW sur mon disque interne
2- Ajout des métadonnées à l'aide de Photo Mechanic v5, car il imbrique les métadonnées dans les RAW originaux. Je ne fais pas de DNG.
3- Sélections de mes "meilleures" et affichage d'uniquement de mes meilleures.
4- cmd-u (qui signifie, FTP les fichiers en tant que...). J'ai programmé ce cmd-u de faire des JPG pleine résolution et de les expédier vers mon serveur externe qui s'adonne être au Utah.
5- Copie de ce dossier contenant métadonnées et sélections vers mes disques jumeaux d'archivage.
6- Lightroom "ajoute" à son catalogue les dernières images.
7- Media Pro ajoute aussi à son catalogue les dernières images. Media Pro car il est plus rapide quand je cherche des images, mais je ne peux les "développer" à mon goût. C'est pour ça Lightroom.
Qu'en penserait Peter Krogh le père de l'archivage auteur du DAM Book?
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