vendredi 31 octobre 2008

Benoit Aquin se mérite le prix Pictet


Benoit Aquin, photographe montréalais, s'est mérité un prix Pictet à Paris avec son reportage sur les régions sèches en Chine "The Dust Bowl".

Il s'était mérité un prix Antoine Désilet, il y a de ça deux ans, pour cette même série.

photo par PixPictet.com

Qu’est-ce qu’une bonne photo de presse

source FPJQ

session de formation «Qu’est-ce qu’une bonne photo de presse?» animée par le photographe Jacques Nadeau du Devoir aura lieu le 11 novembre et non le 4 comme annoncé précédemment.
Cette session vous apprendra à mieux voir autour de vous ce qui peut devenir votre meilleure photo de presse.

Marché aux puces photo en fin de semaine

Le marché aux puces photo est de retour en fin de semaine.
Arrivez tôt pour le matériel rare, arrivez vers la fin pour les prix de dernière minute.
Bonne chance

dimanche 26 octobre 2008

P45+ vs G10

Depuis une semaine, plusieurs parlent de la comparaison que Michael Reichmann de Luminous-Landscape a fait entre deux images prises respectivement avec un Hasselblad H2 équipé d'un dos PhaseOne P45+ et une caméra Canon G10.

40 000.00$ versus 500$. La majorité des pros qui ont évalués les tirages 13x19 de ces caméras, n'ont pas été capable de voir la différence entre les deux...

Et moi qui me croyait seul à comparer des tomates avec des oranges...

À quand votre prochaine job pour Cosette avec une G10?

p.s. n'oubliez pas de lire l'article de Reichmann jusqu'à la fin

La puissance du Wi-Fi/FTP et autres

PhotoShelter et PDN faisaient la démonstration de la puissance de transmission Wi-Fi des caméras jumelées aux routines automatisées au sein de sites web.

Je crois que nous n'avons encore rien vu des conséquences de faire de la prise de vue sans-fil reliée à Internet et diverses formes de sites de diffusion d'images.

Les émetteurs Wi-Fi existent depuis plusieurs années, mais leur plein potentiel n'est pas encore vraiment exploité. À Montréal j'ai senti une réticence dans les journaux à utiliser ces dispositifs de peur de perdre le contrôle éditorial des images diffusées. Cette peur légitime est justifiable et je n'aimerais pas que mon patron voit mes images avant que moi-même aie pu les valider, mais il reste qu'il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bassin.

Concours de photoreportages sur les droits humains

classification des déchets à Calcutta, Inde. photo Martin Benoit

source Mary Ellen Davis

Montréal se dotera de son premier concours de photos de reportages dans le cadre de la 4e édition du Festival de films sur les droits de la personne de Montréal (FFDPM) du 12 au 22 mars 2009.

voir les détails

Compétition photo étudiante de la CAPIC

La CAPIC lance sa compétition photo nationale pour les étudiants.

La date limite pour expédier ses photos est le 3 novembre.

Voir les détails.

mercredi 22 octobre 2008

Lancement du bouquin Cabine C

Mercredi soir avait lieu le lancement du bouquin Cabine C qui contient plusieurs portraits des divers invités de l'émission diffusée sur artv.

Les portraits ont été réalisés par Jean-François Gratton qui est aussi le directeur photo de cette émission.

Ces portraits environnementaux, qui sont des minis récits en lien avec le sujet, dégagent un sentiment de complicité entre le photographe et le sujet. J'ai senti la confiance que les sujets cédaient au photographe, créateur d'univers les plus divers les uns que les autres.

soirée du vernissage à l'Espace Création Loto-Québec. photo Martin Benoit

Encore des nouveaux pitons

Convergence photo/vidéo, un sujet un peu tabou.

MediaStorm publie sa liste de matérielle biplateforme, Vincent Laforet lance ses ateliers «Vidéo pour photographes », Chase Jarvis et autres commentent sur l’avenir de la profession et Luminous-Landscape de même.

Hype, fumée, « game » des fabricants pour vendre de nouvelles caméras, « game » des employeurs pour être compétitifs... Les théories sont multiples et on peut se perdre en conjectures à spéculer si la vidéo n’est pas la prochaine révolution ou est déjà une révolution qui a eu lieu.

Les photographes se sont fait jouer dans leurs plates-bandes depuis les dernières années avec l’apparition du numérique. Des pseudophotographes improvisés ont poussé comme des champignons. Ayant été marqués par cette intromission dans notre profession, on a tendance à ne pas vouloir faire de même envers les autres.

Les questions sont peut-être : Qu’est-ce que la photo en tant que média et a qui la profession appartient-elle?
Est-il souhaitable d’évoluer et de cultiver un système cloisonné?
Notre profession serait-elle améliorée si nous avions un puissant ordre qui protégerait la profession?
En quoi la vidéo est-elle menaçante?
Qui est vraiment menacé par la vidéo et pourquoi?

Des questionnements similaires on eu lieu à savoir à qui appartenait la retouche photo sur Photoshop.
Ayant connu les jours du Air Brush et des systèmes Scitex, j’ai entendu beaucoup de commentaires à l’effet que ce n’était pas une job de photographe de manipuler les images.
La démocratisation des stations de retouches a permis à beaucoup de photographes d’améliorer leur produit voir même, de survivre dans certains cas. Les labos eux ne sont peut-être pas du même avis...
L’évolution technologique et la démocratisation de n’importe quoi ont son lot de conséquences et remises en question. Je ne peux m’empêcher d’essayer d’imaginer les conséquences psychiques chez les portraitistes sur plaques quand la pellicule en rouleau a été introduite et que les amateurs ont commencé à faire du portrait eux-mêmes.

J’aimerais passer ici un commentaire. Historiquement les opérateurs de caméras vidéo ont des formations et très souvent des formations en génie électrique. J’en sais quelque chose, car nous avons un département de TGE (Technique de génie électrique) qui forme des caméramans. Ces raisons sont historiques, car, à l’époque des premières caméras vidéos, la technologie était telle que simplement pour mettre la caméra à ON il fallait un cours... Je pourrais disserter des pages et des pages sur les compétences nécessaires pour faire de la vidéo et on pourrait faire de même relativement à la photo. Il y a une école de photo en Belgique qui impose une formation en chimie fondamentale pour pouvoir compléter sa formation, c’est une situation similaire. Que sont les photographes? Des gens qui écrivent avec la lumière sur un support et racontent des histoires via une ou plusieurs images. La vidéo ajoute beaucoup d’images et le son. En sommes-nous si loin?

Je crois que notre sensibilité à la lumière et à l’organisation spatiale fait de nous des voyeurs privilégiés. Oui, nous sommes épuisés intellectuellement et financièrement par les récentes révolutions technologiques. Ne disons pas non à ce bateau qui passe, car si nous n’embarquons pas, d’autres le feront et ce n’est pas dit que notre quartier de tarte s’en trouvera agrandi.

samedi 18 octobre 2008

La LX3 deux semaines plus tard


On me demande mon opinion sur ma LX3 nouvellement acquise. Je n'ai que 2 semaines entre les dents et que quelques centaines de photos.

J'aime beaucoup l'analyse, que Michael Reichman en a fait, mais nous ne sommes pas le même genre d'individu lui et moi, et j'ai tendance à analyser une caméra plus en relation avec le reportage qu'avec le paysage.

Chose certaine, le port de la courroie dans le cou est un impératif si on ne veut pas l'échapper et un morceau de gaffer tape aide à la prise en main. Durant la première semaine, j'ai essayé de ne pas lire le manuel d'instruction de 153 pages plus... La seconde semaine a été consacrée à sa lecture... Beaucoup, beaucoup de particularités que l'on ne retrouve pas sur un boîtier pro et ce, caché à des places insoupçonnées. Pour moi, c'est une rééducation, mais c'est la seule façon de tirer le maximum de cet animal qui est squeezé dans ce mini boîtier.

Ma grande déception, pour l'instant, est toujours de ne pas pouvoir ouvrir les raw avec un logiciel que je maîtrise bien et je ne veux pas me taper le manuel de Silkypix en plus. Donc, je ne peux pas vraiment apprécier le plein potentiel des fichiers raw...

Ce dont je suis certain à présent : La caméra est très petite et légère et ça, c'est un point positif, compte tenu des raisons de son acquisition. Le grand-angulaire de 24mm (équivalent 35mm) se comporte très bien, même à pleine ouverture f2,0. La caméra est rapide à écrire sur la carte et après quelques ajustements, il n'y a presque plus de délai entre le moment où je déclenche et le moment réel de la prise de vue. Le bruit au dessus de 400 ISO n'est pas génial, mais considérant l'ouverture de 2,0 ça compense. (Les versions raw devraient être plus exploitables) Les modes "intelligents" sont très intelligents et font de bons choix dans des situations difficiles. Je fais allusion aux 24 différents types de situations préprogrammées, ex, crépuscule, animal domestique, etc. Des modes que je n'aurais jamais considérés. L'intelligence artificielle incluse dans ces caméras est assez phénoménale. Les choix d'expositions dans des situations difficiles sont impressionnants. Jusqu'à présent, je ne suis pas encore sorti sans elle et ça, c'est bon, car ça démontre de sa portabilité. Je crois que cette caméra à 400 ISO enregistre autant d'informations qu'un Leica avec du Tri-X (remarquez que je n'ai pas mentionné le meilleur film n/b). Ce sera une vérification technique que je ferai plus tard.

Mon premier traumatisme fut l'absence de viseur optique qui m'imposait de m'étirer les bras (presbytie oblige...) pour cadrer. Après avoir pris conscience du prix du viseur optionnel (230$...) je m'en suis installé un provenant de ma caméra panoramique et je l'ai vite mis de côté réalisant que, le "geste" de photographier à l'"amateur" en s'étirant les bras, fait parti de la dynamique " inoffensive " d'utiliser une telle caméra. De plus, le 18 po que l'on gagne avec les bras allongés, nous rapproche du sujet d'une façon que l'on ne serait peut-être pas autorisé avec un viseur.

Je continue mon exploration et je crois que je vais en faire un bon usage.


Leica M4P cousin lointain de la Lumix LX3. photo Martin Benoit

Studios à louer

Je suis à constituer une liste des studios ou espaces à louer afin de faire des prises de vues. Avec ou sans équipement.

Cette liste sera disponible en bordure de ce blogue et mise à jour régulièrement. Si vous avez un studio ou espace à louer pour la photo, laissez-moi les coordonnées et les conditions en « commentaire » au bas de ce billet (post).

L'évolution de la conjoncture économique ces jours-ci a pour effet que louer un studio est souvent la solution optimale.

Merci de votre collaboration

vendredi 17 octobre 2008

Hindi Pop, photos de Laurent Guérin à l'Agora du Vieux

source danielle L'Espérance

Laurent Guérin est né en 1969, à Montréal. Sa carrière débute dans le monde de la photographie de mode, s’arrête le temps d’assouvir son désir de piloter des avions, pour ensuite atterrir à l’Agence Stock, en 1999. Il vit aujourd’hui à Tokyo et à Montréal, et voit ses oeuvres publiées à travers le monde dans divers magazines.

L’exposition HINDI POP, résultat d’un voyage de plusieurs mois en Inde, a d’abord été présenté à Québec, cet automne, puis à Toronto. Les textes du catalogue sont signés Jean Leloup : « Tu te bats, je me bats/contre le chacun pour soi/et tes photos me vont droit au coeur. »

Rickshaw à la galerie Onze du Vieux

source Danielle L'Espérance
Dominic Morissette est photographe de formation, cinéaste par hasard et par passion.

Infatigable chasseur d’images, il parcourt la planète et ramène de ses voyages plusieurs documentaires photographiques et vidéos nourris de son regard d’ethnologue à l’affût des cultures du monde. Les transports urbains et les déplacements au quotidien sont au coeur des photographies de l’exposition Rickshaw. Rickshaw : véhicule utilitaire à trois roues qu’on retrouve dans la plupartdes villes de l’Inde.

L'exposition au lieu du 27 octobre au 7 novembre à la galerie Onze au cégep du Vieux Montréal.

Les photos ont été prises lors d’un séjour de cinq semaines dans
ce pays et exposées une première fois en 1998. Dominic Morissette est un diplômé
du programme de photographie du Cégep du Vieux Montréal.
L’artiste rencontrera les élèves de photographie de Martin Benoit pour témoigner
de sa démarche artistique, au local A6.60, le jeudi 30 octobre, à 9 h et à midi.
Cette rencontre est ouverte à toutes et à tous.


jeudi 16 octobre 2008

J-F Leblanc redécouvert

Jean-François Leblanc de l'Agence Stock lançait son exposition de photos de la Chine hier soir au Cirque du Soleil.

Cette dernière mouture, de cette expo qui circule depuis plusieurs années, était agrémentée de bouquins que Jean-François a imprimés permettant ainsi de nous offrir une variété encore plus grande d'images.

C'est la troisième fois que je visite ces expos « chinoises » et, à chaque fois, j'y découvre de nouvelles subtilités. La Chine est un sujet fascinant qui ne cesse de surprendre.
Jean-François Leblanc (à gauche), photo Martin Benoit

lundi 13 octobre 2008

DOF, la grosse question

Probablement que plusieurs d'entre vous sont familiers avec ce sigle qui signifie Depth Of Field. Depuis un an, je suis submergé par la préoccupation que la profondeur de champ génère chez les photographes et les vidéastes.

Chez les vidéastes, c'est vraiment la panique. Vous n'avez qu'à taper dans YouTube, DOF, pour trouver des centaines de vidéos tentant de vous trouver des solutions pour faire des tournages hors foyer. Les produits Letus, Brevis, SGpro et Redrock sont des acrobaties pour créer un peu de hors foyer.

La très grande démonstration qu'à fait Vincent Laforet dans son vidéo à la 5D mkII est la démonstration que cette caméra peut aller chercher des hors foyer supérieurs aux caméras 35mm pellicule de Hollywood. La popularité des LensBabies et des objectifs Tilt and Shift démontre le grand besoin de hors foyer. Il y a même un mouvement qui vous propose des T-shirts valorisants les hors foyers.

Je suis de la génération qui a commencé en 2 1/4 pour passer ensuite au 35 mm et au 4x5 et enfin aux capteurs 1,5x, etc. Historiquement on a essayé d'obtenir de la profondeur de champ pour réussir à obtenir une image nette. Le grand format et le format moyen, n'étaient pas très généreux en la matière. Ansel Adams et Minor White avaient démarré le groupe f64 qui faisait leurs photos à f64 pour plus de profondeur de champ. Aujourd'hui, la netteté est quasi un défaut, du moins, la très grande profondeur de champ.

La très grande profondeur de champ est un effet collatéral des petits capteurs qui ont imposé de courtes focales qui produisent de grandes profondeurs de champ. La « nostalgie » des hors foyers des « anciens » systèmes devient alors une qualité, car c'est un luxe que l'on ne peut plus se payer à moins d'avoir une caméra « full cadre » ou encore un dos moyen format. Même Hollywood, avec leurs Panavision ou leur Arri 35 mm ou leurs caméras RED utilisent des focales plus courtes que ce dont la 5D mkII a besoin pour générer le même angle de vision à distance égale. La 5D mkII devient par conséquent une des rares caméras qui enregistrent le mouvement à la surface de capture la plus grande, imposant par le fait même des focales plus longues ayant pour conséquences une profondeur de champ moindre. Seules les caméras IMAX 70 mm utilisent des focales encore plus longues. Le Super 35mm cinéma est de 24mm x 13,7 mm (environ la taille d'un capteur de D2) tandis que la 5D mk II est de 24mm x 36mm quasi le triple en surface.

Vincent Laforet a bien pris soin d'utiliser de grandes ouvertures sur de longues focales ou encore d'utiliser des objectifs exceptionnels à grandes ouvertures. Il a ainsi pu réaliser des hors foyer hors du commun. L'usage des hors foyer devient un élément du langage et un effet pictural. Il sert à cerner le sujet et créer un environnement enveloppant rêveur (Rêverie)... Réaliser ces effets en pellicule 35mm cinéma aurait été très difficile et en vidéo, où les capteurs sont encore plus petits, quasi impossible. Il a démontré que cet appareil coûtait moins et produisait plus au niveau pictural. Les photosites et leur quantité ont aussi permis une très bonne réponse la nuit, ce qu'un capteur de cinéma HD a encore de la difficulté à produire de par sa moindre taille par photosite.

Le film de Vincent contribuera à nourrir la grande frustration de ceux qui cherchent de la faible profondeur de champ dans leurs tournages et il offrira peut-être une solution.

J'étais surpris d'apprendre que le film de Vincent était le sujet de discussion aux Studios Mels (les plus gros studios de cinéma de Montréal) la semaine dernière.

Il n'y a pas que les photographes qui trépignent sur le sujet.

Josée Aubertin photographiée à la caméra 8x10, photo Martin Benoit

vendredi 10 octobre 2008

Quelques expos et film à venir

Les expos de photos affluent ces temps-ci. Comme dirait mon éminent collègue Paul Lowry, peut-être que la photographie est en train de devenir une forme d'art...

Party de Salon, un collectif dont deux photographes, Ninon Pednault et Joanie Lafrenière, "Les Robidoux"
Demain, samedi 11 octobre à 17h à l'Usine Cadbury, 2025-A rue Masson (atelier #101-1)



"Miroirs, Miroirs", une exposition de photographies de Fabrice Delafon à la Galerie d'En-Arrière, 4247 rue St-André, du 16 au 18 octobre et du 23 au 25 octobre de 14 h à 20 h


Jean-François Leblanc, "Pérégrination chinoise" à la ruelle du siège social international du Cirque du Soleil, 8400, 2e ave, Montréal (entrée des employés), le mercredi 15 octobre à 17 h,
Il est IMPORTANT de réserver en répondant à ce courriel afin que votre nom soit inscrit sur la liste des invités. L'exposition n'est accessible au public que le soir du vernissage.


"Une heure plus tard dans les maritimes", une collection de 30 photos d'Alexandre Pouliot à la Maison de la culture Ahuntsic-Cartierville, 10 300 rue Lajeunesse, 1e étage le 23 ocotbre 18 h jusqu'au 29 novembre


Pour ceux qui ont manqué le film de Carl Valiquette, "Darah dan dupa" comme moi, il sera présenté le 16 et 19 octobre à l'Ex-Centris (17 h le 16 et 17:20 le 19)

jeudi 9 octobre 2008

Éloge du soi


Hier soir, avait lieu à la Galerie SAS le vernissage de Jean-François Gratton qui nous présentait une dizaine de ses photos de la série Photomaton.

Jean-François et son équipe font un rappel au phénomène de la représentation du soi via les technologies modernes. L'appareil Photomaton a été transporté et photographié dans divers endroits qui portent à réflexions relativement à l'étrangeté du contexte et les "efforts" que l'on déploie aujourd'hui pour diffuser sa "représentation".

Une série ludique et rafraichissante en ces temps de révolutions dans la construction des images et dans les processus de diffusion en effervescences.

quelques photomatons réalisés lors du vernissage, Martin Girard (collègue de Jean-François) et une des photos de la série, photos Martin Benoit

Circonstances

mercredi 8 octobre 2008

dimanche 5 octobre 2008

Lumix LX3 sous observations

J'ai fait l'acquisition du LX3 hier et j'ai commencé mon analyse du petit objet.

Il y a eu une "compétition" entre magasins pour en obtenir et je suis surpris que les délais entre magasins soient si différents. On parle ici de différences de 2 mois?...

Mes premières impressions sont que l'objet est fabriqué avec minutie, mais n'est pas un appareil de terrain qui pourrait subir les foudres d'un quotidien intensif, mais ça reste à vérifier. L'ergonomie est particulière et nécessite une certaine délicatesse. La construction est japonaise et j'oserais dire que c'est notable même si d'excellents produits sont manufacturés en Chine. Certains disent que l'appareil est manufacturé par Leica et mis en marché par Panasonic, c'est possible considérant l'énorme ressemblance avec le Leica D-Lux 3.

Ce que je n'aime pas, jusqu'à présent, est la constante peur de le laisser tomber, car l'appareil est glissant et la "grip" est peu protubérante. J'ai l'impression qu'il va finir avec du gaffer tape sur la grip... Ce que j'adore, est la possibilité de couper le haut-parleur qui simule le son de l'obturateur et ainsi obtenir une caméra parfaitement silencieuse. Ce que j'aime aussi, est le grand-angulaire de 24mm (équivalent sur du 24x36) qui est rare sur ce genre d'appareil.

Afin de faire des vrais tests de qualité d'image, il faut shooter en raw et je n'ai trouvé que Silkpix qui peut ouvrir les raw de cette caméra.

À suivre

mercredi 1 octobre 2008

Demain soir jeudi, vernissage de Hubert Hayaud

source Caroline Hayeur

Demain soir jeudi, aura lieu le vernissage de Hubert Hayaud à la Galerie Saint-Viateur au 155 Saint-Viateur ouest.

L'exposition se poursuivra jusqu'au 12 octobre.

Le vernissage débute à 18h.

Vernissage du concours Lux toujours populaire

Ce soir avait lieu le populaire vernissage du concours annuel Lux au Musée Juste pour rire.

Beaucoup d'améliorations cette année: entrée gratuite, pas de discours, beaucoup de place pour beaucoup de monde et située au centre de l'action rue St-Laurent.

Le soir du vernissage est surtout l'occasion aux photographes, et divers intervenants du secteur, de se rencontrer dans un contexte détendu accessible à tous. Le concours Lux est un peu comme des funérailles familiales où on rencontre régulièrement des gens qui nous sont chère que l'on ne rencontrerait pas si l'occasion ne nous était pas donnée. Une fois de plus, j'ai fait de très agréables rencontres.

L'équipe de Shoot Studio, Pierre Manning, Martin Girard, Jean-François Lemire et Jean-François Gratton posant fièrement devant leur série de portraits, photo Martin Benoit

Jean-François Gratton à la Galerie SAS

source Galerie SAS

L'avènement des technologies numériques transforme le monde de l'image. Jean-François Gratton s'interroge sur les conséquences de tels changements sur les métiers de l'image et la responsabilité du photographe.

Espace 2 de la galerie [sas] du mercredi 08 octobre au samedi 22 novembre 2008. Vernissage 8 octobre 17:30
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416

©Jean-François Gratton, photographie numérique. L'Arche (2005) 30x40 in

Peut-on encore faire de l'argent avec des banques d'images?

source CAPIC

Jeudi le 9 octobre
Au 460 Sainte-Catherine Ouest, Bureau 606
Entre Aylmer et St-Alexandre
460 Ste-Catherine St. West, Suite 606

> 17:00 à 20:00
“Peut-on encore faire de l'argent avec des banques d'images?”
_Vin et fromage
_Présentation par les photographes Pierre Arsenault et Carlos Davila
> 5pm to 8pm