source André B. et Normand G.
Raymond Depardon parle de sa quête de documenter une certaine France et son lien avec la photographie, le grand format, le noir et blanc. Une maturité photographique, une distanciation et une humilité en une période où on peut avoir l'impression que tout à été dit.
Raymond Depardon chambre l'identité nationale 1 (Mediapart)
envoyé par Mediapart. - L'actualité du moment en vidéo.
partie 2/5
partie 3/5
partie 4/5
partie 5/5
Les photos
dimanche 31 octobre 2010
mercredi 27 octobre 2010
Photographies pour photographes par photographes
Si vous ne avez pas encore visité le concept de One Eye Land.
Une mélange de tendances photographiques pour se revitaliser à l'occasion.
Une mélange de tendances photographiques pour se revitaliser à l'occasion.
lundi 25 octobre 2010
Le Visual Box
Quatre anciens étudiants du programme de photographie se regroupent pour former le Visual Box un collectif photographes/retoucheurs.
À en juger par leurs clients, leurs talents semblent appréciés. Un beau mariage d'amitiés et de compétences complémentaires.
Bonne chance
À en juger par leurs clients, leurs talents semblent appréciés. Un beau mariage d'amitiés et de compétences complémentaires.
Bonne chance
dimanche 24 octobre 2010
Pige photojournalisme et photo reportages
Lundi dernier avait lieu la rencontre sur « Les lundis de la pige » aux locaux de la FPJQ (Fédération Professionnelle des Journalistes du Québec). La salle était comble et la palette d'invités très intéressants. Une des meilleures rencontres à laquelle j'ai assisté à la FPJQ.
Comment survivre et trouver sa place aujourd'hui et demain dans le nouveau contexte des médias?
Les réponses étaient multiples et tous ne s'entendaient pas sur la direction à suivre. En passant par le salarié au pigiste. Le débat tournait beaucoup autour de ce que le client demande et ce qui est raisonnable d'offrir. La demande semble tourner autour du multimédia sous toutes ses formes en particulier la vidéo. Par contre, la faisabilité de produire du matériel acceptable dans les délais attendus et les coûts disponibles semblent souvent contradictoire. Quand et comment doit-on ajouter la composante multimédia à notre produit?
Plusieurs choses ne semblent pas controversées par contre, la rapidité à livrer le produit est un atout, les banques d'images ont fait chuter les prix et trouver une bonne façon d'avoir une visibilité sur le web est importante pour trouver des clients potentiels.
Des spectateurs, comme Paul Chiasson de la PC (Presse Canadienne) et Jacques Nadeau (du quotidien Le Devoir), ont agrémenté la soirée par leurs divers commentaires allant des bienfaits des agences qui font que finalement tes photos sont vues par plus de lecteurs ultimement et de l'importance de la spécialisation et de la grande expertise de base que tous photographes professionnels doit avoir.
Encore une fois, la notion d'être salarié/conventionné versus travailleur autonome, trace un écart de comportements immense entre ces univers où, d'un côté, l'un peut viser une qualité et des conditions d'exécution de son métier, versus l'autre côté, où l'on essaie toutes les solutions en espérant que le poisson mordre à l'hameçon éventuellement.
Sommes-nous en phase transitoire et dans dix ans on dira : Ah, le bordel des années 2010! ou, allons-nous devoir courir dans ce « Rat Race » encore beaucoup d'années en attendant, ou espérant, une stabilisation des attentes et conditions de travail?
Comment survivre et trouver sa place aujourd'hui et demain dans le nouveau contexte des médias?
Les réponses étaient multiples et tous ne s'entendaient pas sur la direction à suivre. En passant par le salarié au pigiste. Le débat tournait beaucoup autour de ce que le client demande et ce qui est raisonnable d'offrir. La demande semble tourner autour du multimédia sous toutes ses formes en particulier la vidéo. Par contre, la faisabilité de produire du matériel acceptable dans les délais attendus et les coûts disponibles semblent souvent contradictoire. Quand et comment doit-on ajouter la composante multimédia à notre produit?
Plusieurs choses ne semblent pas controversées par contre, la rapidité à livrer le produit est un atout, les banques d'images ont fait chuter les prix et trouver une bonne façon d'avoir une visibilité sur le web est importante pour trouver des clients potentiels.
Des spectateurs, comme Paul Chiasson de la PC (Presse Canadienne) et Jacques Nadeau (du quotidien Le Devoir), ont agrémenté la soirée par leurs divers commentaires allant des bienfaits des agences qui font que finalement tes photos sont vues par plus de lecteurs ultimement et de l'importance de la spécialisation et de la grande expertise de base que tous photographes professionnels doit avoir.
Encore une fois, la notion d'être salarié/conventionné versus travailleur autonome, trace un écart de comportements immense entre ces univers où, d'un côté, l'un peut viser une qualité et des conditions d'exécution de son métier, versus l'autre côté, où l'on essaie toutes les solutions en espérant que le poisson mordre à l'hameçon éventuellement.
Sommes-nous en phase transitoire et dans dix ans on dira : Ah, le bordel des années 2010! ou, allons-nous devoir courir dans ce « Rat Race » encore beaucoup d'années en attendant, ou espérant, une stabilisation des attentes et conditions de travail?
photo extraite d'une capture vidéo par Martin Benoit
samedi 23 octobre 2010
Deux expos photos à la Galerie SAS
source: Galerie SAS
Silver Metamorphosis
Yacine Mseffar pratique la photographie depuis l’âge de 17 ans. Ses rencontres et collaborations avec des photographes tels que Raphael Mazzuco et Peter Beard influencent beaucoup son rapport avec ce médium. C’est à l’issue de sa collaboration avec Peter Beard qu’il va joindre sa passion pour la nature à son travail photographique. Yacine Mseffar va alors chercher à révéler les parallèles qui existent entre les formes, les textures, les lignes trouvées dans la nature et celles utilisées en architecture ou en design.
Pour sa première exposition solo il revisite le monde des insectes avec Silver Metamorphosis une série de photographies noir et blanc, grand format. L’utilisation du négatif comme image finale métamorphose les insectes et nous révèle toute leur perfection et leur beauté. Une manière pour l’artiste de nous montrer toute la force créatrice de la nature.
Espace 1 de la galerie [sas] du jeudi 4 novembre au samedi 11 décembre 2010
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
vernissage 04 novembre 2010 17h30
Silver Metamorphosis
Yacine Mseffar pratique la photographie depuis l’âge de 17 ans. Ses rencontres et collaborations avec des photographes tels que Raphael Mazzuco et Peter Beard influencent beaucoup son rapport avec ce médium. C’est à l’issue de sa collaboration avec Peter Beard qu’il va joindre sa passion pour la nature à son travail photographique. Yacine Mseffar va alors chercher à révéler les parallèles qui existent entre les formes, les textures, les lignes trouvées dans la nature et celles utilisées en architecture ou en design.
Pour sa première exposition solo il revisite le monde des insectes avec Silver Metamorphosis une série de photographies noir et blanc, grand format. L’utilisation du négatif comme image finale métamorphose les insectes et nous révèle toute leur perfection et leur beauté. Une manière pour l’artiste de nous montrer toute la force créatrice de la nature.
Espace 1 de la galerie [sas] du jeudi 4 novembre au samedi 11 décembre 2010
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
vernissage 04 novembre 2010 17h30
photo © Yacine Mseffar
Aussi La vie comme une performance
Damián Siqueiros utilise la photographie numérique comme un médium pour lui permettre d’effacer les frontières entre réalité et fiction. Il produit ainsi des images qui ne vont pas sans rappeler l’esthétisme de la peinture romantique que ce soit par le traitement de la lumière où par la mise en scène de ses personnages. Avec La vie comme une performance Damián Siqueiros explore l’influence de la société et des institutions religieuses, sur l’identité du couple, sa construction, sa perception. Il cherche à créer un dialogue entre le spectateur et ses images afin d’amener celui-ci à reconsidérer la manière dont il perçoit sa propre identité.
Mexicain d’origine, Damián Siqueiros a déjà remporté de nombreuses distinctions dont le prix coup de cœur Art Souterrain 2010 et est un des gagnants du concours Xposé 2010 de la Canadian Association of Photographers and Illustrators in Communication (CAPIC). De prestigieux magazines dont Vogue et Elle, font appel à lui pour l’esthétique et la signature artistique de ses photos.
Espace 2 de la galerie [sas] du jeudi 4 novembre au samedi 11 décembre 2010
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
vernissage jeudi 4 novembre 2010 17h30
Damián Siqueiros utilise la photographie numérique comme un médium pour lui permettre d’effacer les frontières entre réalité et fiction. Il produit ainsi des images qui ne vont pas sans rappeler l’esthétisme de la peinture romantique que ce soit par le traitement de la lumière où par la mise en scène de ses personnages. Avec La vie comme une performance Damián Siqueiros explore l’influence de la société et des institutions religieuses, sur l’identité du couple, sa construction, sa perception. Il cherche à créer un dialogue entre le spectateur et ses images afin d’amener celui-ci à reconsidérer la manière dont il perçoit sa propre identité.
Mexicain d’origine, Damián Siqueiros a déjà remporté de nombreuses distinctions dont le prix coup de cœur Art Souterrain 2010 et est un des gagnants du concours Xposé 2010 de la Canadian Association of Photographers and Illustrators in Communication (CAPIC). De prestigieux magazines dont Vogue et Elle, font appel à lui pour l’esthétique et la signature artistique de ses photos.
Espace 2 de la galerie [sas] du jeudi 4 novembre au samedi 11 décembre 2010
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
vernissage jeudi 4 novembre 2010 17h30
photo ©Damlan Siqueiros
vendredi 22 octobre 2010
Lancement du studio La Garçonnière
mercredi 20 octobre 2010
45 lbs sur notre dos à l'occasion
Le quotidien The Gazette publiait hier un article très intéressant sur ce que certains photographes transportent quotidiennement avec eux.
J'ai aimé l'humilité avec laquelle John Mahoney raconte ses diverses chirurgies et hernies. Ses douleurs et ses exercices et l'intelligence des nouvelles stratégies de transport du matériel.
La photographie est souvent un sport et une source de mise en forme ou au contraire, une source de blessures physiques ou psychologiques. Comme dans toutes professions, il est impératif de prendre soin de soi-même et d'être à l'affût de notre santé.
Cliquez sur l'onglet "interactive" pour naviguer dans son matériel.
J'ai aimé l'humilité avec laquelle John Mahoney raconte ses diverses chirurgies et hernies. Ses douleurs et ses exercices et l'intelligence des nouvelles stratégies de transport du matériel.
La photographie est souvent un sport et une source de mise en forme ou au contraire, une source de blessures physiques ou psychologiques. Comme dans toutes professions, il est impératif de prendre soin de soi-même et d'être à l'affût de notre santé.
Cliquez sur l'onglet "interactive" pour naviguer dans son matériel.
samedi 16 octobre 2010
Vernissage de La Guerre des Oliviers
Cette après-midi avait lieu le vernissage de l'exposition La guerre des oliviers de Valerian Mazataud à la galerie Espace Projet sur la rue Villeray.
Une collection d'images, qui accompagnées de textes, raconte la situation particulière des palestiniens qui essaient de récolter leurs olives en marge des colonies juives.
Valerian a travaillé pour une ong sur place en tant que professeur de photographie pour aider des jeunes ados en difficultés à se réinsérer socialement. Son séjour de quelques mois lui a permis de se familiariser avec la situation sur le terrain et pouvoir faire des images plus proches des gens.
Je suis un peu resté sur ma faim, même si il y avait une dégustation d'huile d'olive palestinienne, j'aurais aimé voir les planches contacts, j'ai l'impression qu'il y avait d'autre matériel intéressant.
Une collection d'images, qui accompagnées de textes, raconte la situation particulière des palestiniens qui essaient de récolter leurs olives en marge des colonies juives.
Valerian a travaillé pour une ong sur place en tant que professeur de photographie pour aider des jeunes ados en difficultés à se réinsérer socialement. Son séjour de quelques mois lui a permis de se familiariser avec la situation sur le terrain et pouvoir faire des images plus proches des gens.
Je suis un peu resté sur ma faim, même si il y avait une dégustation d'huile d'olive palestinienne, j'aurais aimé voir les planches contacts, j'ai l'impression qu'il y avait d'autre matériel intéressant.
photo Martin Benoit
vendredi 15 octobre 2010
Y trip le Marcin
Les cours de photographie architecturale ne sont pas toujours les plus populaires au département de photographie du cégep du Vieux Montréal. Ce sont des cours très techniques qui demandent de se lever de bonne heure et d'être très rigoureux.
À l'occasion, ce cours est une renaissance pour certains étudiants qui y découvrent leur voie et c'est le cas de Marcin Wozniak qui semblait se destiner au photojournalisme durant les deux premières années.
À l'occasion, ce cours est une renaissance pour certains étudiants qui y découvrent leur voie et c'est le cas de Marcin Wozniak qui semblait se destiner au photojournalisme durant les deux premières années.
Sorties des ventilateurs du tunnel Louis-Hypollite-Lafontaine, photo © Marcin Wozniak
mardi 12 octobre 2010
Enfin un nouveau livre sur la photo au Québec
À partir de jeudi le 21 octobre, un nouveau livre québécois sur la photographie sera en vente.
Le livre a été écrit par Bernard Brault (photographe à La Presse) et Stéphane Champagne (photographe pigiste).
Le Québec ne pullule pas de bouquins techniques sur la photographie, nous publions plutôt des portfolios ou des livres de belles images. Très peu de bouquins parlent de technique et cherchent à stimuler le photographe amateur. L'offre en librairie se résume souvent à des traductions d'ouvrages américains ou européens.
On se souviendra de l'effet qu'a eu le premier bouquin d'Antoine Désilets dans les années 70 sur les carrières de plusieurs photographes aujourd'hui professionnels.
Le bouquin se présente comme un ouvrage de démystification et de stimulation photographique pour l'amateur averti. Pas de grands discours théoriques, mais des petits paragraphes qui résument un situation ou propose une attitude.
Un ouvrage à suivre
Le livre a été écrit par Bernard Brault (photographe à La Presse) et Stéphane Champagne (photographe pigiste).
Le Québec ne pullule pas de bouquins techniques sur la photographie, nous publions plutôt des portfolios ou des livres de belles images. Très peu de bouquins parlent de technique et cherchent à stimuler le photographe amateur. L'offre en librairie se résume souvent à des traductions d'ouvrages américains ou européens.
On se souviendra de l'effet qu'a eu le premier bouquin d'Antoine Désilets dans les années 70 sur les carrières de plusieurs photographes aujourd'hui professionnels.
Le bouquin se présente comme un ouvrage de démystification et de stimulation photographique pour l'amateur averti. Pas de grands discours théoriques, mais des petits paragraphes qui résument un situation ou propose une attitude.
Un ouvrage à suivre
Maxime multi-disciplinaire
Un de nos anciens finissants, Maxime Boisvert, participe à un projet multi-disciplinaire photographique.
Le projet combinera photo, danse et musique. Un financement KickStarter déterminera de la viabilité de l'idée.
Bonne chance
Le projet combinera photo, danse et musique. Un financement KickStarter déterminera de la viabilité de l'idée.
Bonne chance
Jacques Nadeau au Complexe Desjardins
Hier, lundi, Jacques Nadeau rencontrait les visiteurs de son expo solo lors des événements entourant les 100 ans du quotidien Le Devoir.
Le grand hall du Complexe Desjardins est rempli de très grands agrandissements suspendus.
J'ai eu la chance d'avoir que Jacques me raconte plusieurs anecdotes relativement au contexte de prise de vues de plusieurs de ses photos qui n'en deviennent que plus intéressantes.
Les tirages pivotent au gré de la ventilation du Complexe nous présentant ainsi une exposition différente selon les points de vues et le moment. Un grand mobile photographique.
Le grand hall du Complexe Desjardins est rempli de très grands agrandissements suspendus.
J'ai eu la chance d'avoir que Jacques me raconte plusieurs anecdotes relativement au contexte de prise de vues de plusieurs de ses photos qui n'en deviennent que plus intéressantes.
Les tirages pivotent au gré de la ventilation du Complexe nous présentant ainsi une exposition différente selon les points de vues et le moment. Un grand mobile photographique.
Pierre-Paul Poulin et Jacques Nadeau, photo Martin Benoit
In ne restait que 10 places aujourd'hui
Dépêchez-vous, il ne restait que 10 places cet après-midi pour la conférence sur les transformations du métier de photojournaliste pigiste.
voir article plus bas
voir article plus bas
lundi 11 octobre 2010
Étudiant recherché pour focus group - 50$
source Studio4Fun
Studio4Fun Recherche participants pour Focus Group Nous voulons en apprendre d’avantage sur les besoins des étudiants et finissants en photo afin de trouver des solutions pour mieux y répondre.Un questionnaire vous sera envoyé avant la rencontre afin de vous préparer au focus group. Une compensation de 50$ vous sera offerte!Profil de candidats recherchés : - Étudiant en photo 2e ou 3e année (Cegep ou Université) ouFinissant (récent)- Disponible le 27 octobre de 19h @ 21h.- N’est pas inscrit @ Studio4Fun- À l’aise de parler devant un groupe - Entrevoit la possibilité de louer un studio (seul ou en colocation) à court ou moyen terme pour projets/contrats.Pour participer, écrivez-nous : focusfinissant@studio4fun.ca
Studio4Fun Recherche participants pour Focus Group Nous voulons en apprendre d’avantage sur les besoins des étudiants et finissants en photo afin de trouver des solutions pour mieux y répondre.Un questionnaire vous sera envoyé avant la rencontre afin de vous préparer au focus group. Une compensation de 50$ vous sera offerte!Profil de candidats recherchés : - Étudiant en photo 2e ou 3e année (Cegep ou Université) ouFinissant (récent)- Disponible le 27 octobre de 19h @ 21h.- N’est pas inscrit @ Studio4Fun- À l’aise de parler devant un groupe - Entrevoit la possibilité de louer un studio (seul ou en colocation) à court ou moyen terme pour projets/contrats.Pour participer, écrivez-nous : focusfinissant@studio4fun.ca
samedi 9 octobre 2010
Exposition de Valerian Mazataud sur la guerre en Palestine
*Du 15 au 28 octobre 2010, le photo-journaliste montréalais Valérian Mazataud présentera son reportage « Palestine, la guerre des Olives » à la galerie Espace projet, 353 Villeray Est.*
*Vernissage le samedi 16 octobre à partir de 15h00*
Toutes les informations
Troncs coupés, arbres brûlés, récoltes volées, et attaques violentes. Depuis le début des années 2000, de nombreuses associations israéliennes, comme Rabbis for Human Rights, dénoncent les violences dont sont victimes les fermiers palestiniens au moment de la récolte des olives en Cisjordanie.
Depuis quelques années, la période de la récolte des olives, autrefois festive, est devenue synonyme de violence à travers la Cisjordanie. Les médias israéliens l'appellent « La guerre des olives ».
Sur les terres de la Bible, les symboles sont tout puissants. Cailloux contre mitraillettes, enfants contre soldats. L'Olivier lui, symbole ancestral de la paix, unit les peuples de la méditerranée. Aujourd'hui, il est non seulement le terrain, mais aussi le moyen et l'enjeu des affrontements entre fermiers palestiniens et colons israéliens.
Valérian Mazataud, photo-journaliste indépendant à Montréal, s'est rendu en Cisjordanie à l'automne 2009, et a choisi d'aborder le conflit israelo-palestinien sous un angle symbolique.
*Galerie Espace Projet*
353 rue Villeray Est
*Horaires* Sa—>Me 12-18 PM
Je-Ve 12-20 PM
mercredi 6 octobre 2010
Exposition de photos de Jacques Nadeau
30 ans de regard sur l'actualité
Du 9 au 17 octobre 2010
Au Complexe Desjardins
Jacques Nadeau présente, à compter du samedi 9 octobre et jusqu'au 17 octobre, une exposition qui réunit 68 photos grand format suspendues dans les airs de la Grande place du Complexe Desjardins. L'événement se tient dans le cadre des célébrations du 100e anniversaire du Devoir, où il travaille depuis 20 ans.
Du 9 au 17 octobre 2010
Au Complexe Desjardins
Jacques Nadeau présente, à compter du samedi 9 octobre et jusqu'au 17 octobre, une exposition qui réunit 68 photos grand format suspendues dans les airs de la Grande place du Complexe Desjardins. L'événement se tient dans le cadre des célébrations du 100e anniversaire du Devoir, où il travaille depuis 20 ans.
Jacques Nadeau sera sur les lieux de l'exposition le lundi 11 octobre à compter de 14 heures. Il invite le public et les représentants des médias à venir échanger sur l'information.
- 30 -
Contact : jnadeau@ledevoir.com. Téléphone : (514) 726-5102
Lucien Bouchard et sa femme lors de son annonce qu'il ne quittera pas la politique. photo Jacques Nadeau
10 fps à 16mp pour 800$
C'était prévisible et ça s'en vient. Sony lançait récemment une nouvelle technologie de caméra qui n'utilise pas de miroir pour transmettre l'image au viseur. Le viseur est en fait un mini écran lcd qui est consulté via l'oculaire. La conséquence est que l'on se débarrasse du miroir qui doit se balancer à haute vitesse lors de rafales photo. De plus, ils ont laissé un miroir semi-transparent toujours en position devant le capteur pour envoyer une faible partie des rayons lumineux vers le dispositif d'auto-focus de sorte à continuer à faire la mise au point durant une rafale. Le résultat est 10 images par seconde de 16 mp sur un capteur de taille APS-C et ce pour moins de 800$.
Dimanche, j'essayais cette caméra au match de l'Impact au Stade Saputo en situation réelle de travail. Les caméras les plus rapides font du 10 ou 11 fps à 12 ou 15 mp mais ce pour plus de 4700$. Je ne dis pas que cet appareil, le Sony A55V fait la même chose, mais il nous projette dans un futur proche où la vitesse de transfert des données du capteur vers le processeur, jumelé à l'amélioration des affichages lcd à haute résolution, rendra caduque l'utilisation d'un verre dépoli et tous les défauts qui lui sont inhérent.
L'appareil n'est pas à l'épreuve de l'eau, son autonomie batterie est discutable, en mode rafale nous ne pouvons pas imposer l'ISO, l'ouverture et la vitesse, mais il reste que j'ai fait plusieurs rafales de plus de 25 images sans jamais noyer la mémoire tampon et ce sur une carte SD de classe 10 de 8 gig qui vaut moins de 30$. Difficile d'atteindre cette performance à ce budget.
J'ai concocté un petit stop motion de 23 images, extraites d'un de ces rafales, pour illustrer la décomposition du mouvement possible avec une telle cadence.
Dimanche, j'essayais cette caméra au match de l'Impact au Stade Saputo en situation réelle de travail. Les caméras les plus rapides font du 10 ou 11 fps à 12 ou 15 mp mais ce pour plus de 4700$. Je ne dis pas que cet appareil, le Sony A55V fait la même chose, mais il nous projette dans un futur proche où la vitesse de transfert des données du capteur vers le processeur, jumelé à l'amélioration des affichages lcd à haute résolution, rendra caduque l'utilisation d'un verre dépoli et tous les défauts qui lui sont inhérent.
L'appareil n'est pas à l'épreuve de l'eau, son autonomie batterie est discutable, en mode rafale nous ne pouvons pas imposer l'ISO, l'ouverture et la vitesse, mais il reste que j'ai fait plusieurs rafales de plus de 25 images sans jamais noyer la mémoire tampon et ce sur une carte SD de classe 10 de 8 gig qui vaut moins de 30$. Difficile d'atteindre cette performance à ce budget.
J'ai concocté un petit stop motion de 23 images, extraites d'un de ces rafales, pour illustrer la décomposition du mouvement possible avec une telle cadence.
S'abonner à :
Messages (Atom)