Helen Doyle, réalisatrice, expliquant son approche. photo Martin Benoit |
Un film très féminin selon moi. Un regard et une sensibilité cinématographique qui émeut et nous questionne. On en vient à réviser les codes de déontologie et accepter un certain volet pamphlétaire et dénonciateur que peut avoir une démarche photojournalistique dans le contexte du reportage de guerre.
Comment déclencher l'empathie chez le lecteur souvent sceptique et insensible? Où est la limite du contenu et du contenant que l’on utilise pour véhiculer son message?
Un film que j'espère pouvoir présenter à mes étudiants et qui donne le goût de s'impliquer et déclencher attentivement.
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