Bientôt sur ce blogue, j'expliquerai un peu l'historique de la transmission de photos via lignes téléphoniques.
J'ai eu le privilège de jouer avec un vieux transmetteur de l'AP (Associated Press) qui semble encore opérationnel.
Pour les photographes d'un certain âge, ce seront probablement de mauvais souvenirs, mais pour les plus jeunes, peut-être une source d'inspiration.
À suivre
mardi 31 mars 2009
Hausse d'Internet et de la consultation de vidéos en ligne
Un rapport récent fait état de la fréquentation accrue d'Internet par les Canadiens et en particulier le nombre de vidéos qu'ils regardent en ligne.
Le Canada semble être à l'avant-garde de plusieurs autres pays industrialisés dans ce domaine. La bande passante augmentant, la consultation de vidéo devient de plus en plus réaliste. Il restera à produire le contenu de ces vidéos. Qui, héritera de ce nouveau marché émergent?
Le Canada semble être à l'avant-garde de plusieurs autres pays industrialisés dans ce domaine. La bande passante augmentant, la consultation de vidéo devient de plus en plus réaliste. Il restera à produire le contenu de ces vidéos. Qui, héritera de ce nouveau marché émergent?
vendredi 27 mars 2009
mercredi 25 mars 2009
Demain, première publique d'un film de Michael Flomen
source UMA
UMA a le plaisir de présenter la première du film
LA NUIT EST MA CHAMBRE NOIRE, L’ŒUVRE DE MICHAEL FLOMEN
un court-métrage de 27 min. produit par UMA
LA NUIT EST MA CHAMBRE NOIRE, L’ŒUVRE DE MICHAEL FLOMEN sera présentée, à Montréal, en première mondiale dans le cadre du Festival International du Film sur l’Art, FIFA, où il a été mis en compétition dans trois catégories :
-Compétition officielle : Carrefour de la création
-Prix du public ARTV
-Prix Tremplin pour le monde ARTV
Michael Flomen crée des œuvres photographiques sans l’aide de caméra, ou la nature se raconte elle-même sur la surface sensible photographique.
On suit Flomen dans ses explorations nocturnes où il nous fait découvrir des phénomènes connus mais que l’on ne voit pas. Il transforme notre perception et notre regard de la nature. On le suit, la nuit, où la poésie devient un jeu, où la nature participe au travail de l’artiste et où l’infiniment petit et l’infiniment grand se joignent au phénomène naturel.
Un document spectaculaire qui nous emmène dans des chemins inattendue, surprenant et complètement imprévisible loin, très loin, des clichés de la photographie conventionnelle.
Pour plus d’information et pour voir la bande-annonce :
www.umamontreal.com/lanuit/
PREMIÈRE PUBLIQUE, jeudi 26 mars 2009, 21h, Cinéma ONF, 1564 Saint-Denis, Montréal
UMA
UMA a le plaisir de présenter la première du film
LA NUIT EST MA CHAMBRE NOIRE, L’ŒUVRE DE MICHAEL FLOMEN
un court-métrage de 27 min. produit par UMA
LA NUIT EST MA CHAMBRE NOIRE, L’ŒUVRE DE MICHAEL FLOMEN sera présentée, à Montréal, en première mondiale dans le cadre du Festival International du Film sur l’Art, FIFA, où il a été mis en compétition dans trois catégories :
-Compétition officielle : Carrefour de la création
-Prix du public ARTV
-Prix Tremplin pour le monde ARTV
Michael Flomen crée des œuvres photographiques sans l’aide de caméra, ou la nature se raconte elle-même sur la surface sensible photographique.
On suit Flomen dans ses explorations nocturnes où il nous fait découvrir des phénomènes connus mais que l’on ne voit pas. Il transforme notre perception et notre regard de la nature. On le suit, la nuit, où la poésie devient un jeu, où la nature participe au travail de l’artiste et où l’infiniment petit et l’infiniment grand se joignent au phénomène naturel.
Un document spectaculaire qui nous emmène dans des chemins inattendue, surprenant et complètement imprévisible loin, très loin, des clichés de la photographie conventionnelle.
Pour plus d’information et pour voir la bande-annonce :
www.umamontreal.com/lanuit/
PREMIÈRE PUBLIQUE, jeudi 26 mars 2009, 21h, Cinéma ONF, 1564 Saint-Denis, Montréal
UMA
Canon ferme son service de réparations à Montréal
Dans le cadre d'une restructuration, Canon ferme ses services de réparations à Calgary et Montréal.
Enfin la réponse de Canon à la Nikon D90
Canon vient d'annoncer leur nouvelle vidéo caméra "bon marché" qui fait de la vidéo et des images à haute résolution (15 mp) pour 900 U$ avec un objectif de base.
Une réponse à la Nikon D90 qui se vend depuis plusieurs mois et qui offre un appareil à objectifs interchangeable hybride. Canon offre une résolution vidéo légèrement supérieure (1080p) mais moins de cadres par secondes à cette résolution élevée.
Ce qui est intéressant dans cette annonce est le fait que de plus en plus les fonctions vidéo sont intégrées dans une famille de plus en plus étendue de caméras. Ces systèmes sont imparfaits, mais permettront la production ou du moins l'initiation à ce médium.
Une réponse à la Nikon D90 qui se vend depuis plusieurs mois et qui offre un appareil à objectifs interchangeable hybride. Canon offre une résolution vidéo légèrement supérieure (1080p) mais moins de cadres par secondes à cette résolution élevée.
Ce qui est intéressant dans cette annonce est le fait que de plus en plus les fonctions vidéo sont intégrées dans une famille de plus en plus étendue de caméras. Ces systèmes sont imparfaits, mais permettront la production ou du moins l'initiation à ce médium.
jeudi 19 mars 2009
Le Québec au même rang que la Corée du nord?
Microsoft n'acceptera pas les participations de québécois au même titre que celles des iraniens ou des cubains à leur compétition Microsoft Future Pro Photographer.
Open to all students who are 18 (eighteen) years of age or older at the time of entry and actively enrolled at a two-year, four-year, or advanced degree granting college or university. However, residents of the following countries are ineligible to participate: Cuba, Iran, North Korea, Sudan and Syria. In addition residents of the Province of Quebec are ineligible to participate.
Que se passe-t-il? Faisons-nous parti de l'Axe du Mal ou?
Est-ce notre pseudo réputation historique de pirater les logiciels de Microsoft qui nous vaut cette pénalité?
merci Matthieu pour l'info
Open to all students who are 18 (eighteen) years of age or older at the time of entry and actively enrolled at a two-year, four-year, or advanced degree granting college or university. However, residents of the following countries are ineligible to participate: Cuba, Iran, North Korea, Sudan and Syria. In addition residents of the Province of Quebec are ineligible to participate.
Que se passe-t-il? Faisons-nous parti de l'Axe du Mal ou?
Est-ce notre pseudo réputation historique de pirater les logiciels de Microsoft qui nous vaut cette pénalité?
merci Matthieu pour l'info
mardi 17 mars 2009
Retro Satanas fumistes
Ce n'est pas ce soir que nous avons appris ce que sera le futur des médias de l'information.
Lors de cette avant-première du film Derrière la Toile à l'UQÀM, en présence des réalisateurs Jacques Godbout et Florian Sauvageau, nous avons eu un bon portrait de la situation et de l'évolution des médias. Ce film se veut le second volet de Derrière l'image réalisé en 1979 par les mêmes comparses.
J'espérais découvrir un nouveau film qui deviendrait un visionnement obligatoire dans mes cours comme fut le premier durant des années. Derrière l'image avait bouleversé les préconceptions sur la construction de la nouvelle au Québec. Un film critique et informateur. J'attendais une version 2009 du même sujet. Les auteurs ont plutôt soulevé un questionnement quant au futur du journalisme et de la survie des journaux.
Durant la période des questions aux réalisateurs, une nostalgie du médium papier était palpable tout en reconnaissant que la nouvelle génération ne s'identifie pas à ce format d'information. Florian Sauvageau a fait son méa culpa relativement au fait qu'au Québec les écoles de journalisme ont tué la créativité au profit de l'uniformité et avec pour conséquence une nouvelle ennuyante qui ne sied plus dans un contexte où les sources d'information abondent.
Lors de cette avant-première du film Derrière la Toile à l'UQÀM, en présence des réalisateurs Jacques Godbout et Florian Sauvageau, nous avons eu un bon portrait de la situation et de l'évolution des médias. Ce film se veut le second volet de Derrière l'image réalisé en 1979 par les mêmes comparses.
J'espérais découvrir un nouveau film qui deviendrait un visionnement obligatoire dans mes cours comme fut le premier durant des années. Derrière l'image avait bouleversé les préconceptions sur la construction de la nouvelle au Québec. Un film critique et informateur. J'attendais une version 2009 du même sujet. Les auteurs ont plutôt soulevé un questionnement quant au futur du journalisme et de la survie des journaux.
Durant la période des questions aux réalisateurs, une nostalgie du médium papier était palpable tout en reconnaissant que la nouvelle génération ne s'identifie pas à ce format d'information. Florian Sauvageau a fait son méa culpa relativement au fait qu'au Québec les écoles de journalisme ont tué la créativité au profit de l'uniformité et avec pour conséquence une nouvelle ennuyante qui ne sied plus dans un contexte où les sources d'information abondent.
Florian Sauvageau et Jacques Godboult, photomontage Martin Benoit
Beau mix photo/vidéo
Rogerio Barbosa a réalisé un reportage photo/vidéo lors de la manifestation contre la brutalité policière dimanche dernier.
Un bel exemple des qualitiés narratives du mariage des deux technologies. La photo souligne l'émotion ponctuelle et la vidéo rend la rythmique.
Afin de rendre la lecture plus fluide, vous pouvez sauvegarder la vidéo sur votre ordi (40 meg) et la lire avec votre lecteur préféré.
Un bel exemple des qualitiés narratives du mariage des deux technologies. La photo souligne l'émotion ponctuelle et la vidéo rend la rythmique.
Afin de rendre la lecture plus fluide, vous pouvez sauvegarder la vidéo sur votre ordi (40 meg) et la lire avec votre lecteur préféré.
photo extraite du vidéo de Rogerio
lundi 16 mars 2009
Stage à La Presse; délai d'une semaine
source Patrick Sanfaçon
Bonjour,
C’est maintenant une tradition! À chaque année, La Presse offre la chance à un ou une photographe de se faire valoir durant un stage d’été.
Veuillez faire suivre ce message à quiconque serait intéressé. (voir les détails plus bas):
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à l'égard de La Presse.
Le stage auquel vous faites référence se déroule durant la période estivale.
- les demandes de candidatures des photographes stagiaires doivent nous
parvenir au plus tard le 20 mars 18h 2009;
- la présélection des candidats se déroulera jusqu'à la mi-avril;
- la sélection finale des stagiaires sera faite vers le 1er mai 2009;
- le stage est d'une durée de 10 semaines soit de juin à août;
- les candidats stagiaires postent leur demande à :
Monsieur Benoit Giguère
Adjoint au Directeur de l'Information
La Presse, ltée
750, rue Saint-Laurent, 3e étage
Montréal (Québec) H2Y 2Z4
- Documents à fournir pour votre dossier :
curriculum vitae,
lettre de motivation,
portfolio sur cd, dvd ou à une adresse url.
Salutations,
--
Benoit Giguère
Adjoint au Directeur de l'information
Responsable de la maquette et de la photographie
bgiguere@lapresse.ca
Bonjour,
C’est maintenant une tradition! À chaque année, La Presse offre la chance à un ou une photographe de se faire valoir durant un stage d’été.
Veuillez faire suivre ce message à quiconque serait intéressé. (voir les détails plus bas):
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à l'égard de La Presse.
Le stage auquel vous faites référence se déroule durant la période estivale.
- les demandes de candidatures des photographes stagiaires doivent nous
parvenir au plus tard le 20 mars 18h 2009;
- la présélection des candidats se déroulera jusqu'à la mi-avril;
- la sélection finale des stagiaires sera faite vers le 1er mai 2009;
- le stage est d'une durée de 10 semaines soit de juin à août;
- les candidats stagiaires postent leur demande à :
Monsieur Benoit Giguère
Adjoint au Directeur de l'Information
La Presse, ltée
750, rue Saint-Laurent, 3e étage
Montréal (Québec) H2Y 2Z4
- Documents à fournir pour votre dossier :
curriculum vitae,
lettre de motivation,
portfolio sur cd, dvd ou à une adresse url.
Salutations,
--
Benoit Giguère
Adjoint au Directeur de l'information
Responsable de la maquette et de la photographie
bgiguere@lapresse.ca
cuvée 2000 des stagiaires à La Presse, photo Robert Mailloux
Vernissage au Cheval blanc ce soir; Lord et Chauvin
source Victoria Lord
Fermont, c'est le froid, le nord. La mine. Les ski-doos. C'est surtout un mur-écran de 1.3 km de long, construit pour protéger la ville du vent. Un mur où loge le tiers des habitants, où l'on retrouve entre autres des commerces, une piscine, deux agences de voyage, une polyvalente, une radio communautaire et un bar de danseuses.
Attirées par l'exotisme de l'endroit, les deux photographes montréalaises sont allées faire un tour au nord du 50e parallèle, le temps de quelques jours passés à photographier la ville, le mur, les gens et la mine de Mont-Wright.
Vernissage ce soir à partir de 17h
C'est avec grand plaisir que nous vous convions au vernissage de l'exposition Fermont qui aura lieu le lundi 16 mars à 17h.
L'exposition demeurera au Cheval Blanc du 16 mars au 3 avril
Fermont, c'est le froid, le nord. La mine. Les ski-doos. C'est surtout un mur-écran de 1.3 km de long, construit pour protéger la ville du vent. Un mur où loge le tiers des habitants, où l'on retrouve entre autres des commerces, une piscine, deux agences de voyage, une polyvalente, une radio communautaire et un bar de danseuses.
Attirées par l'exotisme de l'endroit, les deux photographes montréalaises sont allées faire un tour au nord du 50e parallèle, le temps de quelques jours passés à photographier la ville, le mur, les gens et la mine de Mont-Wright.
Vernissage ce soir à partir de 17h
C'est avec grand plaisir que nous vous convions au vernissage de l'exposition Fermont qui aura lieu le lundi 16 mars à 17h.
L'exposition demeurera au Cheval Blanc du 16 mars au 3 avril
dimanche 15 mars 2009
Making of du Curtis 2009
Mélika préparant Isabelle qui sera photographiée lors du projet, photo par Matthieu Lambert
Galerie web d'une sélection de 205 photos du projet Curtis édition 2009.
Photos par Marianne Noël-Allen, Alexandra Boucher, Laurence Christen, Matthieu Lambert et Jean-Philippe Maurice.
Photos par Marianne Noël-Allen, Alexandra Boucher, Laurence Christen, Matthieu Lambert et Jean-Philippe Maurice.
Projet Curtis, édition 2009
Une fois de plus, les étudiants ont vécu une simulation d'"exoticisation" lors du projet Curtis 2009.
Cet exercice annuel, vise à faire comprendre aux étudiants les conséquences d'inclure des éléments exotiques dans leurs images et les conséquences sur l'interprétation des dites images.
La séance dure une journée complète et les prises de vues sont uniques et effectuées à 1 seconde d'obturation en lumière naturelle, à la caméra monorail équipée d'un dos numérique.
Cet exercice annuel, vise à faire comprendre aux étudiants les conséquences d'inclure des éléments exotiques dans leurs images et les conséquences sur l'interprétation des dites images.
La séance dure une journée complète et les prises de vues sont uniques et effectuées à 1 seconde d'obturation en lumière naturelle, à la caméra monorail équipée d'un dos numérique.
Laurence Christen, photo Martin Benoit
Sontag frappe encore
Je viens de finir le bouquin de Susan Sontag, Devant la douleur des autres publié en français en 2003.
Cet ouvrage constitue une réflexion complexe sur les effets chez le lecteur du visionnement d'images d'horreurs. Elle explore les diverses intentions des éditeurs et des effets sur le lecteur du visionnement de telles images. Son approche historique fait aussi le portrait de l'évolution de l'usage de telles images ainsi que la stylistique de la représentation au travers les années.
On ne peut s'empêcher, en lisant le bouquin, de chercher des parallèles dans notre quotidien et nos quotidiens et se questionner sur notre propre réaction devant l'horreur et ce qu'elle engendre en nous.
Un ouvrage introspectif important à lire par tous les joueurs dans l'arène de la diffusion de la souffrance.
Cet ouvrage constitue une réflexion complexe sur les effets chez le lecteur du visionnement d'images d'horreurs. Elle explore les diverses intentions des éditeurs et des effets sur le lecteur du visionnement de telles images. Son approche historique fait aussi le portrait de l'évolution de l'usage de telles images ainsi que la stylistique de la représentation au travers les années.
On ne peut s'empêcher, en lisant le bouquin, de chercher des parallèles dans notre quotidien et nos quotidiens et se questionner sur notre propre réaction devant l'horreur et ce qu'elle engendre en nous.
Un ouvrage introspectif important à lire par tous les joueurs dans l'arène de la diffusion de la souffrance.
côté gauche d'une plaque de verre stéréoscopique d'un supplice chinois qui consiste à découper progressivement un humain, photo prise aux alentours de 1904
mercredi 11 mars 2009
Vernisage des étudiants de première année en photo
Vernissage Anthropographia
source Matthieu Rytz
Vous êtes cordialement invités au vernissage de
l'exposition de photoreportages sur les droits humains
qui se tiendra le vendredi 13 mars à 18H au
175, av. Président-Kennedy.
voir: http://autochrome.info/
et
http://anthropographia.org/concours/fr/expo.html
Vous êtes cordialement invités au vernissage de
l'exposition de photoreportages sur les droits humains
qui se tiendra le vendredi 13 mars à 18H au
175, av. Président-Kennedy.
voir: http://autochrome.info/
et
http://anthropographia.org/concours/fr/expo.html
La photo d'identification des foules
Vous avez probablement reçu un courriel ces dernières semaines vous avisant du danger de la photographie d'identification dans les foules maintenant possible grâce à l'évolution de la technologie.
L'exemple ayant été le plus diffusé, est la photographie de l'investiture de Barak Obama à Washington à l'aide des dispositifs Gigapan.
Cette technologie et cette possibilité ne sont pas récentes et l'on pouvait louer chez Vistek la fameuse Alpa Roto sm 60/70 dans les années 80 qui peut réaliser, sur pellicule 120, une unique photo d'une longueur totale de la pellicule. Dans la publicité de la caméra on mentionnait même que c'était une des utilisations importantes de la caméra. C'est-à-dire que le négatif produit mesure environ 700mm par 56mm ce qui est gigantesque et non imprimable par un agrandisseur. Il faut numériser ou faire des agrandissements partiels tant la surface est grande. Cette technologie atteignait la même résolution que le dispositif Gigapan voire même légèrement supérieure, considérant que les optiques utilisées et la pellicule avaient un pouvoir résolvant légèrement supérieur.
Si vous être vraiment inquiet, questionnez-vous sur l'utilisation des télescopes KeyHole qui sont supérieurs au Hubble et qui sont dirigés vers la surface terrestre...
L'exemple ayant été le plus diffusé, est la photographie de l'investiture de Barak Obama à Washington à l'aide des dispositifs Gigapan.
Cette technologie et cette possibilité ne sont pas récentes et l'on pouvait louer chez Vistek la fameuse Alpa Roto sm 60/70 dans les années 80 qui peut réaliser, sur pellicule 120, une unique photo d'une longueur totale de la pellicule. Dans la publicité de la caméra on mentionnait même que c'était une des utilisations importantes de la caméra. C'est-à-dire que le négatif produit mesure environ 700mm par 56mm ce qui est gigantesque et non imprimable par un agrandisseur. Il faut numériser ou faire des agrandissements partiels tant la surface est grande. Cette technologie atteignait la même résolution que le dispositif Gigapan voire même légèrement supérieure, considérant que les optiques utilisées et la pellicule avaient un pouvoir résolvant légèrement supérieur.
Si vous être vraiment inquiet, questionnez-vous sur l'utilisation des télescopes KeyHole qui sont supérieurs au Hubble et qui sont dirigés vers la surface terrestre...
Une loi potentielle pour identifier les retouches
Un groupe fait pression en France pour l'obtention d'une loi qui forcerait les magazines à divulguer l'étendue des retouches qui ont été effectuées sur une image. Le New York Times présente un extrait de cette histoire.
dimanche 8 mars 2009
Solution à la question de l'audio sur la 5D mkII à venir
Beachtek sortira en avril un nouvel adaptateur, le DXA-5D XLR pour la 5D mkII.
Cet adapteur permettra d'ajouter des micros professionnels à condensateurs nécessitant une alimentation Phantom de 48 volts et "désactivera", via un stratagème, le compresseur (AGC, Automatic Gain control) interne de la 5D qui empêche de contrôler le volume sonore des passages audio.
Un bidule qui devrait être autour des 400$.
À suivre
2 concours photos
La Presse organise un concours de photos d'oiseaux.
Le journal Voir organise un concours de photos d'événements.
Concours de photo - Laisse-moi voir, 2e édition Captez un événement artistique, d'actualité ou autre se déroulant près de chez vous. Déposez votre photo jusqu'au 30 mars. Courez la chance de gagner: catégorie 18 à 25 ans un stage en photojournalisme à Perpignan (France) - 26 ans et +: une journée en tant que photographe officiel du journal Voir. www.voir.ca/mnba
Le journal Voir organise un concours de photos d'événements.
Concours de photo - Laisse-moi voir, 2e édition Captez un événement artistique, d'actualité ou autre se déroulant près de chez vous. Déposez votre photo jusqu'au 30 mars. Courez la chance de gagner: catégorie 18 à 25 ans un stage en photojournalisme à Perpignan (France) - 26 ans et +: une journée en tant que photographe officiel du journal Voir. www.voir.ca/mnba
parade de la St-Patrick 2008 par Martin Benoit
samedi 7 mars 2009
Diverses expos
Stéphane Lord exposera ses photos féesques au Café L'étranger rue Ste Catherine Ouest, près du métro McGill du 21 février au 20 mars.
Marie-Andrée Boivin expose : Dis-moi comment on t'a conditionné et je te dirai de quel genre tu es; durant La semaine queer radical au Chat des artistes pour 2 semaines.
source Galerie SAS
ILOZASP : un nom étrange pour désigner un projet autant qu’un lieu. L’Ïle aux Asperges existe vraiment, à une encablure de celle de Montréal. Le couple de photographes Mattera-Joly y a établi une base qui mêle famille, nature et liberté. Le ciel est immense à l’Île aux Asperges. Les idées restent à l’état sauvage, si près de la ville qui gronde. L’Ïle aux Asperges est un espace rude, limité, sans confort, mais essentiel et réconfortant. L’écologie prend tout son sens dans cette aire de conservation. Les animaux et les végétaux qui s’y épanouissent nous redonnent confiance en notre espèce. ILOZASP : des photographies d’un monde vibrant, où l’air et l’eau ont rendez-vous avec la vie.
ILOZASP : Espace 2 de la galerie [sas] du jeudi 12 février au samedi 7 mars 2009
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
photos de Stéphane Lord et Mattera-Joly
mercredi 4 mars 2009
Les hybrides HD
La Canon 5D mkII n'est pas la seule sur la montagne des caméras hybrides offrant vidéo HD et photographie.
Nikon a sa D90 et Panasonic, sa Lumix GH1. N'oublions pas que, comme Sony, Panasonic a une grande expertise dans les caméras vidéos de broadcast à très fort prix et que, assembler de l'électronique robuste n'est pas une activité qu'ils ont débutée hier. De plus, Pansonic est associé avec Leica pour la production de certains de leurs objectifs. Inutile de vous faire le portrait de Leica en terme d'expertise optique... Ce avec quoi nous avons misère à composer, est le fait qu'ils ne sont pas présents historiquement dans le secteur pro de la photo. Un peu comme nous avons souvent tendance à sous-estimer l'amateur ou le photographe improvisé dans le marché de la photographie professionnel, ces caméras permettront à des photographes plus ou moins pro de produire du matériel publiable, ajoutant ainsi des joueurs dans ce nouveau marché qu'est le marché de la photo/vidéo.
Finis les jours où seuls les biens nantis pouvaient avoir accès au marché de la photo professionnelle. Les dix dernières années de la transition argentique-numérique nous ont laissé croire que la photographie pro appartenait à ceux qui avaient les reins financiers assez solides pour renouveler leurs appareils numériques haut de gamme (acquis à fort prix) à tous les trois ans...
Nous ne devons pas oublier, qu'il y a vingt ans un photographe avec un Mamiya RB 67 et 3 objectifs pouvait très bien gagner sa vie et compétitionner le photographe avec le plus gros kit Hasselblad et voir même faire mieux dans certaines circonstances. De même, un photographe avec un Pentax Spotmatic pouvait faire les mêmes photos que celui avec le gros Nikon F2. Je suis toujours étonné, en regardant les photographes officiels entourant les grands événements, de la diversité budgétaire des équipements avec lesquels ils travaillaient. C'est toujours un vent de fraîcheur pour moi cette dissociation entre image produite et prix du matériel de prise de vue.
Ces nouveautés technologiques à bas prix annoncent peut-être le retour de cet alizé. hybride. Oui, les résolutions ne sont pas les mêmes, j'en conviens. Panasonic n'est pas un joueur négligeable dans cet univers. Un peu comme nous avons tendance à négliger Sony, qui est en train de donner du fil à retorde à Canon et Nikon avec sa Alpha 900 (full frame 24 mp stabilisée avec optiques Zeiss à "bas prix"), nous avons tendance à ignorer les joueurs associés antérieurement aux caméras amatrices.
Nikon a sa D90 et Panasonic, sa Lumix GH1. N'oublions pas que, comme Sony, Panasonic a une grande expertise dans les caméras vidéos de broadcast à très fort prix et que, assembler de l'électronique robuste n'est pas une activité qu'ils ont débutée hier. De plus, Pansonic est associé avec Leica pour la production de certains de leurs objectifs. Inutile de vous faire le portrait de Leica en terme d'expertise optique... Ce avec quoi nous avons misère à composer, est le fait qu'ils ne sont pas présents historiquement dans le secteur pro de la photo. Un peu comme nous avons souvent tendance à sous-estimer l'amateur ou le photographe improvisé dans le marché de la photographie professionnel, ces caméras permettront à des photographes plus ou moins pro de produire du matériel publiable, ajoutant ainsi des joueurs dans ce nouveau marché qu'est le marché de la photo/vidéo.
Finis les jours où seuls les biens nantis pouvaient avoir accès au marché de la photo professionnelle. Les dix dernières années de la transition argentique-numérique nous ont laissé croire que la photographie pro appartenait à ceux qui avaient les reins financiers assez solides pour renouveler leurs appareils numériques haut de gamme (acquis à fort prix) à tous les trois ans...
Nous ne devons pas oublier, qu'il y a vingt ans un photographe avec un Mamiya RB 67 et 3 objectifs pouvait très bien gagner sa vie et compétitionner le photographe avec le plus gros kit Hasselblad et voir même faire mieux dans certaines circonstances. De même, un photographe avec un Pentax Spotmatic pouvait faire les mêmes photos que celui avec le gros Nikon F2. Je suis toujours étonné, en regardant les photographes officiels entourant les grands événements, de la diversité budgétaire des équipements avec lesquels ils travaillaient. C'est toujours un vent de fraîcheur pour moi cette dissociation entre image produite et prix du matériel de prise de vue.
Ces nouveautés technologiques à bas prix annoncent peut-être le retour de cet alizé. hybride. Oui, les résolutions ne sont pas les mêmes, j'en conviens. Panasonic n'est pas un joueur négligeable dans cet univers. Un peu comme nous avons tendance à négliger Sony, qui est en train de donner du fil à retorde à Canon et Nikon avec sa Alpha 900 (full frame 24 mp stabilisée avec optiques Zeiss à "bas prix"), nous avons tendance à ignorer les joueurs associés antérieurement aux caméras amatrices.
divers photographes du Fashion Week à Toronto, désolé pour la mention du photographe qui me manque...
Un cas similaire à l'affaire Kazemi
Une journaliste pigiste est emprisonnée en Iran avec des antécédents similaires à ceux de Zahra Kazemi (ancienne étudiante en photographie au Vieux).
Une affaire à suivre.
Une affaire à suivre.
La chute du Rocky Mountain News
La fermeture soudaine du journal Rocky Mountain News à Denver, Colorado fait énormément couler d'encre (ou dois-je dire, génère beaucoup de caractères aux écrans) depuis une semaine.
Ce journal, qui s'est mérité plusieurs prix prestigieux, a fermé ses portes à la surprise des ses employés et du lectorat. Cette fermeture s'inscrit dans la foulée des fermetures ou mise en faillite de plusieurs quotidiens qui sont confrontés à des baisses importantes de revenus au point de fermer leurs portes. La "récession" actuelle n'aidant pas, la chute des journaux amorcée, il y a plus d'un an, se poursuit.
Ce que je trouve étrange dans le cas du Rocky Mountain News, est le fait que l'on semble responsabiliser uniquement les publicitaires et les lecteurs. Cette équation me semble simpliste, car elle ne s'attaque qu'aux gens qui versent directement de l'argent au quotidien. La question à se poser, me semble-t-il, est pourquoi les publicitaires quittent-ils les journaux et pourquoi les lecteurs quittent-ils les journaux?
Participant à divers groupes de discussions sur la restructuration des médias conventionnels, il me semble évident que les signes annonciateurs de cette dérive soient présents depuis plusieurs années et que l'industrie doit revoir ses paradigmes opérationnels. Personne n'a de boule de cristal pouvant prévoir l'avenir et les modèles organisationnels des quotidiens, mais chose certaine, ils ne peuvent pas continuer selon l'ancien modèle qui ne correspond plus à la réalité des années 2000.
La venue de l'information gratuite avec Internet et des outils comme Google News sont quelques éléments de l'équation, mais de construire une entreprise sur les revenus publicitaires constitue aussi le talon d'Achille de cette entreprise. Si la pub décide de se déplacer, les revenus disparaissent. Certains journaux, comme Le Monde diplomatique, exigent davantage de sous du lectorat diminuant leurs parutions et leur publicité; est-ce une solution? La création de contenu de qualité est très onéreuse et l'accès à du contenu gratuit est dorénavant disponible via le "journaliste-citoyen". Qu'elle est la qualité de ce contenu? Cela reste à voir, mais il peut remplir des pages et attirer un lecteur. Encore hier, la BBC faisait appel aux lecteurs présents à Lahore au Pakistan pour alimenter le fil de presse relativement aux attentats envers l'équipe de criquet sri lankaise qui s'est fait attaquer au lance-roquette. On parle ici de la BBC considérée par plusieurs comme une entreprise de presse respectable.
Pour la question de la crédibilité qui avant était l'apanage des quotidiens, cette confiance en les grands médias traditionnels papiers semble s'être érodée. Encore, Infopresse faisait état d'un nouveau "lieu" qu'est devenu Internet et du fait que de plus en plus de gens préfèrent croire leurs pairs qu'un grand média.
Sommes nous tous devenus cyniques, ou est-ce que les théories de complot global nous ont tous minés, ou les quotidiens en sont-ils arrivés à l'heure des comptes et doivent de plus en plus faire la démonstration de leur "qualité"?
Les photographes en sont eux rendus à l'heure des comptes et ne peuvent plus compter sur leur avantage technologique, car ils savaient mieux manier la bague d'ouvertures et la molette de l'obturateur que l'amateur. Il est évident, pour les photographes, que présentement, seule l'excellence survit et que cette excellence doit être maintenue. La technologie a forcer le "professionnel" à souligner son vrai professionnalisme pour rester en vie, peut-être en somme nous rendus à cette démonstration de la part des quotidiens du au fait que les publicitaires sont en train de les déserter?
Ce journal, qui s'est mérité plusieurs prix prestigieux, a fermé ses portes à la surprise des ses employés et du lectorat. Cette fermeture s'inscrit dans la foulée des fermetures ou mise en faillite de plusieurs quotidiens qui sont confrontés à des baisses importantes de revenus au point de fermer leurs portes. La "récession" actuelle n'aidant pas, la chute des journaux amorcée, il y a plus d'un an, se poursuit.
Ce que je trouve étrange dans le cas du Rocky Mountain News, est le fait que l'on semble responsabiliser uniquement les publicitaires et les lecteurs. Cette équation me semble simpliste, car elle ne s'attaque qu'aux gens qui versent directement de l'argent au quotidien. La question à se poser, me semble-t-il, est pourquoi les publicitaires quittent-ils les journaux et pourquoi les lecteurs quittent-ils les journaux?
Participant à divers groupes de discussions sur la restructuration des médias conventionnels, il me semble évident que les signes annonciateurs de cette dérive soient présents depuis plusieurs années et que l'industrie doit revoir ses paradigmes opérationnels. Personne n'a de boule de cristal pouvant prévoir l'avenir et les modèles organisationnels des quotidiens, mais chose certaine, ils ne peuvent pas continuer selon l'ancien modèle qui ne correspond plus à la réalité des années 2000.
La venue de l'information gratuite avec Internet et des outils comme Google News sont quelques éléments de l'équation, mais de construire une entreprise sur les revenus publicitaires constitue aussi le talon d'Achille de cette entreprise. Si la pub décide de se déplacer, les revenus disparaissent. Certains journaux, comme Le Monde diplomatique, exigent davantage de sous du lectorat diminuant leurs parutions et leur publicité; est-ce une solution? La création de contenu de qualité est très onéreuse et l'accès à du contenu gratuit est dorénavant disponible via le "journaliste-citoyen". Qu'elle est la qualité de ce contenu? Cela reste à voir, mais il peut remplir des pages et attirer un lecteur. Encore hier, la BBC faisait appel aux lecteurs présents à Lahore au Pakistan pour alimenter le fil de presse relativement aux attentats envers l'équipe de criquet sri lankaise qui s'est fait attaquer au lance-roquette. On parle ici de la BBC considérée par plusieurs comme une entreprise de presse respectable.
Pour la question de la crédibilité qui avant était l'apanage des quotidiens, cette confiance en les grands médias traditionnels papiers semble s'être érodée. Encore, Infopresse faisait état d'un nouveau "lieu" qu'est devenu Internet et du fait que de plus en plus de gens préfèrent croire leurs pairs qu'un grand média.
Sommes nous tous devenus cyniques, ou est-ce que les théories de complot global nous ont tous minés, ou les quotidiens en sont-ils arrivés à l'heure des comptes et doivent de plus en plus faire la démonstration de leur "qualité"?
Les photographes en sont eux rendus à l'heure des comptes et ne peuvent plus compter sur leur avantage technologique, car ils savaient mieux manier la bague d'ouvertures et la molette de l'obturateur que l'amateur. Il est évident, pour les photographes, que présentement, seule l'excellence survit et que cette excellence doit être maintenue. La technologie a forcer le "professionnel" à souligner son vrai professionnalisme pour rester en vie, peut-être en somme nous rendus à cette démonstration de la part des quotidiens du au fait que les publicitaires sont en train de les déserter?
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