vendredi 30 avril 2010
Reza à Concordia
source FPJQ, Concordia
Reza, photojournaliste mondialement reconnu, prendra la parole pour la Journée des Droits de l’Homme à l’université de Concordia, à l'occasion du Congrès des Humanités et Sciences Sociales 2010. Intitulée « Témoin de la souffrance humaine », la présentation parlera de ses expériences en Afghanistan ainsi que du rôle de l’éducation et des médias indépendants dans la promotion des droits de l’homme, de l’autonomisation des femmes et de la vie culturelle.
Le 28 mai 2010, de 14 h à 15 h 30 au théâtre D.B. Clarke dans le bâtiment Henry F. Hall, 1455 Boulevard De Maisonneuve, Montréal. La présentation sera ouverte au public et l'entrée sera libre.
Reza, photojournaliste mondialement reconnu, prendra la parole pour la Journée des Droits de l’Homme à l’université de Concordia, à l'occasion du Congrès des Humanités et Sciences Sociales 2010. Intitulée « Témoin de la souffrance humaine », la présentation parlera de ses expériences en Afghanistan ainsi que du rôle de l’éducation et des médias indépendants dans la promotion des droits de l’homme, de l’autonomisation des femmes et de la vie culturelle.
Le 28 mai 2010, de 14 h à 15 h 30 au théâtre D.B. Clarke dans le bâtiment Henry F. Hall, 1455 Boulevard De Maisonneuve, Montréal. La présentation sera ouverte au public et l'entrée sera libre.
photo par je ne sais qui, ce n'est pas mentionné...
jeudi 29 avril 2010
Le droit d'auteur revisité et l'hindouisme
source PDN
Lors de la dernière assemblée de la ASMP (American Society of Media Photographers), les participants ont convenu que la façon dont le droit d'auteur était appliqué était désuète.
La structure du droit d'auteur actuelle a été établie dans les années 60, dans un contexte où les possibilités d'en déroger étaient moindres.
Comment dans cette ère d'ordinateurs et d'accès aux médias, protéger les créateurs en maintenant une souplesse d'utilisation pour des usages « acceptables »?
Les réponses n'ont pas été abondantes, mais tous semblaient s'entendre pour un assouplissement de la législation et peut être s'inquiéter un peu moins de protéger les droits du créateur congelé de la fameuse souris animée aux grandes oreilles....
De ma tour d'ivoire d'enseignant salarié, permanent et syndiqué, il m'est toujours difficile de commenter sur ce sujet qui me tient à coeur.
Quel est le but ultimement? Éviter que le petit créateur émergent meure dans l'oeuf par manque de revenu? Protéger la grosse corporation de distribution contre les petits pirates?
Mes deux exemples peuvent sembler extrêmes, mais dans les faits, qui bénéficie réellement des profits que rapporte le droit d'auteur?
En tant qu'enseignant de pratiques professionnelles photographiques, je me sens un peu ridicule et menteur quand je dis aux étudiants d'appliquer la grille tarifaire à 100 % en début de carrière afin de protéger le reste de l'industrie. Quand je pose des questions et regarde les pros travailler, je constate une grande « souplesse » dans l'application de cette grille...
La question n'est pas tant l'attitude des acheteurs d'images et des producteurs d'images dans ce débat, mais celui du distributeur. Le créateur d'image mérite un salaire et ce n'est pas controversé. L'ampleur de ce salaire en fonction de l'énergie déployée et son lien avec l'utilisation dont on en fait ça, c'est plus complexe. Les utilisateurs d'images doivent payer pour un bien qu'ils n'ont pas eu à produire eux-mêmes et pour le service qu'il leur est rendu. La question semble, de plus en plus, se retourner vers les « middle men », ceux qui n'ont pas produit et qui n'utilisent pas, mais qui redistribuent. Quand on regarde les chiffres, les grosses corporations comme Sony, Getty, Corbis et autres semblent obtenir une assez grosse part du gâteau en tant qu'intermédiaires. Sans ces intermédiaires, nos photos ne trouveraient peut-être pas preneur et peut-être pas pour des sommes « respectables ». Paradoxalement, ce sont eux aussi qui font baisser le prix de la photographie en contrôlant la « valeur » d'une photo via leurs tendances de marketing. Certains diront que ce sont eux qui prennent le risque financier en investissant dans des projets photographiques non vendus.
Comment se fait-il que les agences de pubs soient toujours plus riches que les photographes des photos qu'ils diffusent? La réponse pour plusieurs est tellement évidente. On paie pour le « thinking » et on paie cher. J'ai travaillé plusieurs années pour une grande firme d'ingénieurs-conseils dans le monde de la construction gouvernementale. Les sommes attribuées à l'ingénierie relativement à celles attribuées aux constructeurs étaient phénoménales et l'est encore.
Un peu comme les hindous, nous avons élevés à la plus haute caste (les brahmanes), les penseurs de nos sociétés, et non pas ceux, qui dans les faits, font le travail. Peut-être qu'une société millénaire comme l'hindouisme a plus réfléchi que nous sur la question?
Lors de la dernière assemblée de la ASMP (American Society of Media Photographers), les participants ont convenu que la façon dont le droit d'auteur était appliqué était désuète.
La structure du droit d'auteur actuelle a été établie dans les années 60, dans un contexte où les possibilités d'en déroger étaient moindres.
Comment dans cette ère d'ordinateurs et d'accès aux médias, protéger les créateurs en maintenant une souplesse d'utilisation pour des usages « acceptables »?
Les réponses n'ont pas été abondantes, mais tous semblaient s'entendre pour un assouplissement de la législation et peut être s'inquiéter un peu moins de protéger les droits du créateur congelé de la fameuse souris animée aux grandes oreilles....
De ma tour d'ivoire d'enseignant salarié, permanent et syndiqué, il m'est toujours difficile de commenter sur ce sujet qui me tient à coeur.
Quel est le but ultimement? Éviter que le petit créateur émergent meure dans l'oeuf par manque de revenu? Protéger la grosse corporation de distribution contre les petits pirates?
Mes deux exemples peuvent sembler extrêmes, mais dans les faits, qui bénéficie réellement des profits que rapporte le droit d'auteur?
En tant qu'enseignant de pratiques professionnelles photographiques, je me sens un peu ridicule et menteur quand je dis aux étudiants d'appliquer la grille tarifaire à 100 % en début de carrière afin de protéger le reste de l'industrie. Quand je pose des questions et regarde les pros travailler, je constate une grande « souplesse » dans l'application de cette grille...
La question n'est pas tant l'attitude des acheteurs d'images et des producteurs d'images dans ce débat, mais celui du distributeur. Le créateur d'image mérite un salaire et ce n'est pas controversé. L'ampleur de ce salaire en fonction de l'énergie déployée et son lien avec l'utilisation dont on en fait ça, c'est plus complexe. Les utilisateurs d'images doivent payer pour un bien qu'ils n'ont pas eu à produire eux-mêmes et pour le service qu'il leur est rendu. La question semble, de plus en plus, se retourner vers les « middle men », ceux qui n'ont pas produit et qui n'utilisent pas, mais qui redistribuent. Quand on regarde les chiffres, les grosses corporations comme Sony, Getty, Corbis et autres semblent obtenir une assez grosse part du gâteau en tant qu'intermédiaires. Sans ces intermédiaires, nos photos ne trouveraient peut-être pas preneur et peut-être pas pour des sommes « respectables ». Paradoxalement, ce sont eux aussi qui font baisser le prix de la photographie en contrôlant la « valeur » d'une photo via leurs tendances de marketing. Certains diront que ce sont eux qui prennent le risque financier en investissant dans des projets photographiques non vendus.
Comment se fait-il que les agences de pubs soient toujours plus riches que les photographes des photos qu'ils diffusent? La réponse pour plusieurs est tellement évidente. On paie pour le « thinking » et on paie cher. J'ai travaillé plusieurs années pour une grande firme d'ingénieurs-conseils dans le monde de la construction gouvernementale. Les sommes attribuées à l'ingénierie relativement à celles attribuées aux constructeurs étaient phénoménales et l'est encore.
Un peu comme les hindous, nous avons élevés à la plus haute caste (les brahmanes), les penseurs de nos sociétés, et non pas ceux, qui dans les faits, font le travail. Peut-être qu'une société millénaire comme l'hindouisme a plus réfléchi que nous sur la question?
Lancement d'un bouquin de Bertrand Carrière
source Bertrand Carrière
Depuis 2006 Bertrand Carrière a réalisé une série de photographies dans le Nord de la France et en Flandre belge, dans cette zone tristement célèbre pour avoir été le site des engagements les plus longs et les plus meurtriers de la Première Guerre mondiale. À partir d'une série de photographies historiques, l'artiste est retourné sur ces lieux, à la recherche de ce qu'ils sont devenus.
Les images qu'il y a réalisées sont inspirées de la riche tradition de photographie documentaire et du paysage social. Il nous montre les restes d'une guerre qui aura bientôt cent ans. Dans ces photographies en couleurs, il soulève le paradoxe de la beauté lumineuse de ces lieux et les sombres horreurs qui s'y sont déroulées, afin d'aviver la mémoire à partir de ce qui demeure.
samedi 24 avril 2010
Des étudiants d'André-Laurendeau exposent à Occurence
source Bertrand Carrière
L’idée initiale de produire une exposition de photographies avec des étudiants provenant du collégial revient à la directrice d’Oc- currence Lili Michaud, dans le cadre du 20ième anniversaire de la galerie. Cette initiative témoigne de son indéfectible engagement à soutenir la relève artistique et de la confiance et l’intérêt qu’elle a toujours manifestés envers la jeune photographie.
BERTRAND CARRIÈRE ET MONA HAKIM, Enseignants au profil Photo- graphie et Arts Graphiques au Cégep André-Laurendeau
Utopie. Terme d’espoir, d’idéal, de rêve, de progrès ou d’irra- tionalité? Qu’on l’évoque pour décrire l’œuvre fictive Utopia (1516) de Thomas More, d’où son nom tire origine, la cité idéale de Platon dans La République ou les systèmes socialistes du XIXe siècle, l’uto- pie est à l’image de la finalité humaine : l’atteinte d’un bien et d’une perfection universels. Mais l’utopie est-elle du domaine du réel ou d’un idéal impossible? Les définitions actuelles de l’utopie sont le reflet même de la société postmoderne : nuancées, métissées, inté- riorisées et surtout, individuelles. Les vocations idéalistes de l’utopie moderne se rattachent à des sphères aussi variées que la politique, la sociologie, la spiritualité, l’écologie, la technologie, voire la réalisa- tion de fantasmes personnels. Alors que les hippies de la dernière gé- nération proposaient une utopie pacifique et collective, qu’en est-t-il de nos utopies, nous, les «jeunes», qui avons l’impression de porter tout le poids du monde? Six d’entre eux vous dévoilent leur vision de l’utopie. Moi, je rêve d’un monde où les multiples « soi » s’unissent dans un « nous ». Et vous, quelle est votre utopie?
CATHERINE OUELLETTE, Finissante en Photographie et Arts Graphiques au Cégep André-Laurendeau
L’idée initiale de produire une exposition de photographies avec des étudiants provenant du collégial revient à la directrice d’Oc- currence Lili Michaud, dans le cadre du 20ième anniversaire de la galerie. Cette initiative témoigne de son indéfectible engagement à soutenir la relève artistique et de la confiance et l’intérêt qu’elle a toujours manifestés envers la jeune photographie.
BERTRAND CARRIÈRE ET MONA HAKIM, Enseignants au profil Photo- graphie et Arts Graphiques au Cégep André-Laurendeau
Utopie. Terme d’espoir, d’idéal, de rêve, de progrès ou d’irra- tionalité? Qu’on l’évoque pour décrire l’œuvre fictive Utopia (1516) de Thomas More, d’où son nom tire origine, la cité idéale de Platon dans La République ou les systèmes socialistes du XIXe siècle, l’uto- pie est à l’image de la finalité humaine : l’atteinte d’un bien et d’une perfection universels. Mais l’utopie est-elle du domaine du réel ou d’un idéal impossible? Les définitions actuelles de l’utopie sont le reflet même de la société postmoderne : nuancées, métissées, inté- riorisées et surtout, individuelles. Les vocations idéalistes de l’utopie moderne se rattachent à des sphères aussi variées que la politique, la sociologie, la spiritualité, l’écologie, la technologie, voire la réalisa- tion de fantasmes personnels. Alors que les hippies de la dernière gé- nération proposaient une utopie pacifique et collective, qu’en est-t-il de nos utopies, nous, les «jeunes», qui avons l’impression de porter tout le poids du monde? Six d’entre eux vous dévoilent leur vision de l’utopie. Moi, je rêve d’un monde où les multiples « soi » s’unissent dans un « nous ». Et vous, quelle est votre utopie?
CATHERINE OUELLETTE, Finissante en Photographie et Arts Graphiques au Cégep André-Laurendeau
Cédez le Passage
source Cédez le Passage
Objet : Appel de dossier
Face aux difficultés rencontrées par certains jeunes photographes pour diffuser leurs projets photographiques, Cédez le Passage désire encourager la relève québécoise en leur offrant un nouvel espace virtuel de diffusion. Nous invitons les photographes à envoyer leur dossier avant le 1er juin, pour la programmation 2010-2011.
Chaque mois, à compter de septembre 2010, Cédez le Passage exposera une série d’images réalisée par un jeune photographe. De plus, le site proposera une liste de concours et appels de dossiers pour des expositions, festivals et autres événements québécois et internationaux.
Nous espérons ainsi, en offrant une vitrine de diffusion, encourager le processus de création chez les jeunes photographes québécois.
er Faites nous parvenir votre dossier par courriel avant le 1 juin 2010 à :
cedezlepassage@ymail.com
• •
Entre 8 et 15 images (format pdf max 5 megs) constituant une série déterminée par une unité de pensée, de vision ou de thème (les portfolios ne seront pas considérés). Une brève description du projet (maximum 300 mots)
Un curriculum vitae (permettant de vérifier votre éligibilité). À noter :
• Les propositions à caractère social, documentaire, photojournalistique et environnemental sont les bienvenues.
• Sont invités à participer : tous photographes amateurs ou professionnels, sans considération d’âge, qui n’ont pas ou peu d’expériences dans le réseau artistique professionnel.
• La sélection des dossiers se fera uniquement sur la base des qualités esthétiques des images sans considération de l'identité des postulants.
Pour plus d’infos, consulter notre site internet à : www.cedezlepassage.com
Cédez le Passage
Espace virtuel d’exposition et de références en photographie pour la relève québécoise www.cedezlepassage.com cedezlepassage@ymail.com
Objet : Appel de dossier
Face aux difficultés rencontrées par certains jeunes photographes pour diffuser leurs projets photographiques, Cédez le Passage désire encourager la relève québécoise en leur offrant un nouvel espace virtuel de diffusion. Nous invitons les photographes à envoyer leur dossier avant le 1er juin, pour la programmation 2010-2011.
Chaque mois, à compter de septembre 2010, Cédez le Passage exposera une série d’images réalisée par un jeune photographe. De plus, le site proposera une liste de concours et appels de dossiers pour des expositions, festivals et autres événements québécois et internationaux.
Nous espérons ainsi, en offrant une vitrine de diffusion, encourager le processus de création chez les jeunes photographes québécois.
er Faites nous parvenir votre dossier par courriel avant le 1 juin 2010 à :
cedezlepassage@ymail.com
• •
Entre 8 et 15 images (format pdf max 5 megs) constituant une série déterminée par une unité de pensée, de vision ou de thème (les portfolios ne seront pas considérés). Une brève description du projet (maximum 300 mots)
Un curriculum vitae (permettant de vérifier votre éligibilité). À noter :
• Les propositions à caractère social, documentaire, photojournalistique et environnemental sont les bienvenues.
• Sont invités à participer : tous photographes amateurs ou professionnels, sans considération d’âge, qui n’ont pas ou peu d’expériences dans le réseau artistique professionnel.
• La sélection des dossiers se fera uniquement sur la base des qualités esthétiques des images sans considération de l'identité des postulants.
Pour plus d’infos, consulter notre site internet à : www.cedezlepassage.com
Cédez le Passage
Espace virtuel d’exposition et de références en photographie pour la relève québécoise www.cedezlepassage.com cedezlepassage@ymail.com
Dimanche le 2 mai 11h am, Un moment sur la planète.
Le blogue Lens du New York Times lance un appel à tous les photographes à participer à « A Moment in May ».
Ils recevront des photos faites à la même seconde partout sur la planète afin de constituer un instantané collectif terrestre.
Un projet similaire à « A Day in ... »
Ils recevront des photos faites à la même seconde partout sur la planète afin de constituer un instantané collectif terrestre.
Un projet similaire à « A Day in ... »
vendredi 23 avril 2010
Déjeuner média TELBEC "La nouvelle en pleine révolution"
Ce matin avait lieu le déjeuner média de TELBEC à l'hôtel Loews de la rue de La montagne à Montréal.
De 7 h 30 à 9 h, 150 participants s'étaient rassemblés pour entendre les perspectives de deux joueurs des médias, soit Roland-Yves Carignan, directeur de l'information au quotidien Le Devoir et Michelle Richardson « City Editor » au quotidien The Gazette.
J'étais un peu hors ton sans cravate dans cette audience de vestons et de relationnistes.
Manon Desrosiers, directrice Telbec, a commencé par nous dire, que même les journalistes ne comprennent pas très bien ce qui arrive aux médias ces temps-ci, eux qui ont l'habitude d'expliquer à la population les tenants et aboutissants des grandes problématiques.
Ce que nous avons appris, entre autres, est que Facebook est en baisse et que Twitter et Linkedin sont les médias sociaux qui ont vu la plus grande progression dans la dernière année. Alors si vous êtes encore sur Facebook et pas sur Twitter, vous êtes dépassé... :) De plus, 80 % des professionnels des médias utilisent les médias sociaux.
Le Devoir nous parlait de leur « Édition virale » qui comme un virus vise à se répandre via les médias sociaux afin de ramener ultimement les lecteurs vers le journal papier ou le cybermédia.
Ils ont reconnu que la Recherche et Développement n'est plus un luxe dans de telles institutions et que l'anticipation des besoins fait partie de leurs stratégies de mise en marché. Comme plusieurs médias l'on constaté, les lecteurs web ne sont pas les mêmes et n'ont pas les mêmes besoins que les lecteurs papiers. Donc, on ne peut pas diffuser bêtement le même contenu sur les deux plateformes.
Il reste tout de même certains problèmes non résolus. Comment valider l'information dans le contexte de qui publie le premier la nouvelle et les délais de vérifications de plus en plus courts. Un participant en provenance des États Unis à même demandé, pourquoi au Québec ne dit-on pas dans les journaux que la guerre en Irak et en Afghanistan est une guerre pour le pétrole. La réponse fut d'un flou artistique méritant un anti-Scheimphlug prononcé... Curieusement, on a mentionné que les entrevues audio étaient plus désirées que les capsules vidéos.
De 7 h 30 à 9 h, 150 participants s'étaient rassemblés pour entendre les perspectives de deux joueurs des médias, soit Roland-Yves Carignan, directeur de l'information au quotidien Le Devoir et Michelle Richardson « City Editor » au quotidien The Gazette.
J'étais un peu hors ton sans cravate dans cette audience de vestons et de relationnistes.
Manon Desrosiers, directrice Telbec, a commencé par nous dire, que même les journalistes ne comprennent pas très bien ce qui arrive aux médias ces temps-ci, eux qui ont l'habitude d'expliquer à la population les tenants et aboutissants des grandes problématiques.
Ce que nous avons appris, entre autres, est que Facebook est en baisse et que Twitter et Linkedin sont les médias sociaux qui ont vu la plus grande progression dans la dernière année. Alors si vous êtes encore sur Facebook et pas sur Twitter, vous êtes dépassé... :) De plus, 80 % des professionnels des médias utilisent les médias sociaux.
Le Devoir nous parlait de leur « Édition virale » qui comme un virus vise à se répandre via les médias sociaux afin de ramener ultimement les lecteurs vers le journal papier ou le cybermédia.
Ils ont reconnu que la Recherche et Développement n'est plus un luxe dans de telles institutions et que l'anticipation des besoins fait partie de leurs stratégies de mise en marché. Comme plusieurs médias l'on constaté, les lecteurs web ne sont pas les mêmes et n'ont pas les mêmes besoins que les lecteurs papiers. Donc, on ne peut pas diffuser bêtement le même contenu sur les deux plateformes.
Il reste tout de même certains problèmes non résolus. Comment valider l'information dans le contexte de qui publie le premier la nouvelle et les délais de vérifications de plus en plus courts. Un participant en provenance des États Unis à même demandé, pourquoi au Québec ne dit-on pas dans les journaux que la guerre en Irak et en Afghanistan est une guerre pour le pétrole. La réponse fut d'un flou artistique méritant un anti-Scheimphlug prononcé... Curieusement, on a mentionné que les entrevues audio étaient plus désirées que les capsules vidéos.
Michelle Richardson de The Gazette et Bernard Motulsky, modérateur de l'UQÀM, photo Martin Benoit
dimanche 18 avril 2010
Yves Arcand à l'Espace F jusqu'au 25 avril
Notre bon ami Yves Arcand expose jusqu'au 25 février à l'Espace F de Matane.
source Espace F
L’œuvre d’Yves Arcand s’inscrit dans le courant de la photographie de paysage issue de l’influente exposition New Topographics: Photographs of a Man-Altered Landscape. Son travail s’appuie sur des contenus apparemment objectifs pour mettre en question nos relations à l’espace tel que nous le modifions et le percevons.
À travers des paysages urbains ou ruraux, j’interroge notre relation au territoire, relation dans laquelle l’homme et son environnement se construisent mutuellement. Dans ce nouveau travail, je me penche sur la fonction sociale d’espaces publics dont l’aménagement échappe souvent à notre conscience. Je questionne les dénominations, souvent trompeuses, de «public» et «privé» autant que l’occupation humaine de ces espaces.
Yves Arcand étudie la photographie et le cinéma au Ryerson Polytechnical Institute puis au Nova Scotia College of Art and Design. Il complète par la suite une maîtrise en arts visuels à l’Université Concordia. Son travail a fait l’objet de plusieurs expositions au Québec, au Canada et à l’étranger. Yves Arcand vit à Rimouski et enseigne la photographie au Cégep de Matane depuis 1992.
source Espace F
L’œuvre d’Yves Arcand s’inscrit dans le courant de la photographie de paysage issue de l’influente exposition New Topographics: Photographs of a Man-Altered Landscape. Son travail s’appuie sur des contenus apparemment objectifs pour mettre en question nos relations à l’espace tel que nous le modifions et le percevons.
À travers des paysages urbains ou ruraux, j’interroge notre relation au territoire, relation dans laquelle l’homme et son environnement se construisent mutuellement. Dans ce nouveau travail, je me penche sur la fonction sociale d’espaces publics dont l’aménagement échappe souvent à notre conscience. Je questionne les dénominations, souvent trompeuses, de «public» et «privé» autant que l’occupation humaine de ces espaces.
Yves Arcand étudie la photographie et le cinéma au Ryerson Polytechnical Institute puis au Nova Scotia College of Art and Design. Il complète par la suite une maîtrise en arts visuels à l’Université Concordia. Son travail a fait l’objet de plusieurs expositions au Québec, au Canada et à l’étranger. Yves Arcand vit à Rimouski et enseigne la photographie au Cégep de Matane depuis 1992.
samedi 17 avril 2010
Expos de photos
source BPIQ (Bulletin des photographes internautes du Québec)
Daniel Goudrouffe présente «Santiman Karayib » au Centre culturel Simon Bolivar, 394 boul. de Maisonneuve Ouest, Montréal, du 22 mars au 17 avril. Rallye-expo Vues d’Afrique.
Yves Vaillancourt et Anatole Orlovsky à la Galerie Kaf-Art, 9367, rue Lajeunesse, Montréal, du 13 mars au 18 avril.
Francis Lacharité présente Guatémala Luttes et Résistances dans l’Espace blanc du Musée Populaire de la photographie (Drummondville), du 10 décembre 2009 au ? avril 2010.
Sanctuaires (Sol Lang et Éric Dupuis) au Musée des religions du monde à Nicolet, du 24 novembre 2009 au 25 avril 2010.
Jean-Pierre Legault, au Centre d'exposition L'Imagier, à Gatineau, du 14 mars au 25 avril 2010.
François Pesant présente « Les réfugiés du climat » à la TOHU, du 11 février au 25 avril.
Yves Arcand expose à Espace F à Matane, du 26 mars au 25 avril.
Rodrigue Bélanger chez VU à Québec, du 26 mars au 25 avril.
Serge Tousignant chez VU à Québec, du 26 mars au 25 avril.
Danielle Perreault présente «La Maison de l’espoir » au Cinéma Beaubien (Montréal) du 1er au 30 avril. Rallye-expo Vues d’Afrique.
Bertrand Carrière chez Simon Blais à Montréal, du 31 mars au 1er mai.
John Baldessari chez VOX, du 1er avril au 1er mai.
Johanne Biffi à la Galerie Les Territoires (Belgo), du 16 avril au 1er mai.
Emmanuelle Léonard à la Galerie Donald Browne (Belgo), du 27 mars au 1er mai.
Guy Lavigueur au Centre d'exposition de Rouyn-Noranda, du 28 mars au 9 mai 2010.
Gilles Carle (d’après une sélection de Chloé Ste-Marie) au Musée Populaire de la photographie (Drummondville), du 31 mars au 10 mai.
Pierre Dorion présente « Peinture et photographie » au Musée des beaux-arts de Montréal, du 4 mars au 20 mai.
Guy Lavigueur présente "L'eau de là" dans le cadre de l'exposition ENTRE DEUX EAUX DU NORD AU SUD, au Centre d’exposition de Val- David, jusqu'au 22 mai. PROLONGATION jusqu’au 8 juin.
Le Centre de documentation sur la photographie (commissaire Robert Hébert), en collaboration avec Vues d’Afrique, présente Cynthia Copper et ses images de Tombouctou au Monument National, du 1er février au 19 avril 2010. Rallye-expo Vues d’Afrique
BPIQ no 13.8 13
Gabor Szilasi, itinérance de l’exposition Famille par le Conseil des arts de Montréal jusqu’en février 2011. Du 1er avril au 30 mai à la Maison de la culture Marie-Uguay, 6052, boul. Monk, Montréal.
Alain Champagne présente « Japonitude » au Studio Locomotion des Usines Angus (2600, rue William-Tremblay, suite 133, Montréal), du 6 avril au 30 mai.
Histoires et Mémoires, exposition des étudiants en photographie du Cégep André-Laurendeau. Du 1er avril au 30 mai à la Maison de la culture Marie-Uguay, 6052, boul. Monk, Montréal.
Christian Chevalier à l’Observatoire de la Capitale, Édifice Marie-Guyart, Québec, jusqu’au printemps 2010.
Guy Glorieux au Musée des beaux-arts de Mont-Saint-Hilaire, du 16 avril au 8 juin 2010. Vernissage le 25 avril.
Michel Dompierre au Musée régional de Rimouski, du 1er novembre 2009 au 17 octobre 2010.
Mouvement Art Public (Du Canada, Lynne Cohen, Alana Riley ; de la Chine, Li Wei ; des États-Unis, Olaf Breuning ; d’Israël, Nadav Kander et de France, Denis Darzacq) à la Place Émilie-Gamelin (Métro Berri-UQAM), du 3 novembre 2009 au 1er novembre 2010.
Nance Ackerman présente « Wathahine : photographies de femmes autochtones » au Musée McCord du 10 mars 2010 au 15 mai 2011.
Daniel Goudrouffe présente «Santiman Karayib » au Centre culturel Simon Bolivar, 394 boul. de Maisonneuve Ouest, Montréal, du 22 mars au 17 avril. Rallye-expo Vues d’Afrique.
Yves Vaillancourt et Anatole Orlovsky à la Galerie Kaf-Art, 9367, rue Lajeunesse, Montréal, du 13 mars au 18 avril.
Francis Lacharité présente Guatémala Luttes et Résistances dans l’Espace blanc du Musée Populaire de la photographie (Drummondville), du 10 décembre 2009 au ? avril 2010.
Sanctuaires (Sol Lang et Éric Dupuis) au Musée des religions du monde à Nicolet, du 24 novembre 2009 au 25 avril 2010.
Jean-Pierre Legault, au Centre d'exposition L'Imagier, à Gatineau, du 14 mars au 25 avril 2010.
François Pesant présente « Les réfugiés du climat » à la TOHU, du 11 février au 25 avril.
Yves Arcand expose à Espace F à Matane, du 26 mars au 25 avril.
Rodrigue Bélanger chez VU à Québec, du 26 mars au 25 avril.
Serge Tousignant chez VU à Québec, du 26 mars au 25 avril.
Danielle Perreault présente «La Maison de l’espoir » au Cinéma Beaubien (Montréal) du 1er au 30 avril. Rallye-expo Vues d’Afrique.
Bertrand Carrière chez Simon Blais à Montréal, du 31 mars au 1er mai.
John Baldessari chez VOX, du 1er avril au 1er mai.
Johanne Biffi à la Galerie Les Territoires (Belgo), du 16 avril au 1er mai.
Emmanuelle Léonard à la Galerie Donald Browne (Belgo), du 27 mars au 1er mai.
Guy Lavigueur au Centre d'exposition de Rouyn-Noranda, du 28 mars au 9 mai 2010.
Gilles Carle (d’après une sélection de Chloé Ste-Marie) au Musée Populaire de la photographie (Drummondville), du 31 mars au 10 mai.
Pierre Dorion présente « Peinture et photographie » au Musée des beaux-arts de Montréal, du 4 mars au 20 mai.
Guy Lavigueur présente "L'eau de là" dans le cadre de l'exposition ENTRE DEUX EAUX DU NORD AU SUD, au Centre d’exposition de Val- David, jusqu'au 22 mai. PROLONGATION jusqu’au 8 juin.
Le Centre de documentation sur la photographie (commissaire Robert Hébert), en collaboration avec Vues d’Afrique, présente Cynthia Copper et ses images de Tombouctou au Monument National, du 1er février au 19 avril 2010. Rallye-expo Vues d’Afrique
BPIQ no 13.8 13
Gabor Szilasi, itinérance de l’exposition Famille par le Conseil des arts de Montréal jusqu’en février 2011. Du 1er avril au 30 mai à la Maison de la culture Marie-Uguay, 6052, boul. Monk, Montréal.
Alain Champagne présente « Japonitude » au Studio Locomotion des Usines Angus (2600, rue William-Tremblay, suite 133, Montréal), du 6 avril au 30 mai.
Histoires et Mémoires, exposition des étudiants en photographie du Cégep André-Laurendeau. Du 1er avril au 30 mai à la Maison de la culture Marie-Uguay, 6052, boul. Monk, Montréal.
Christian Chevalier à l’Observatoire de la Capitale, Édifice Marie-Guyart, Québec, jusqu’au printemps 2010.
Guy Glorieux au Musée des beaux-arts de Mont-Saint-Hilaire, du 16 avril au 8 juin 2010. Vernissage le 25 avril.
Michel Dompierre au Musée régional de Rimouski, du 1er novembre 2009 au 17 octobre 2010.
Mouvement Art Public (Du Canada, Lynne Cohen, Alana Riley ; de la Chine, Li Wei ; des États-Unis, Olaf Breuning ; d’Israël, Nadav Kander et de France, Denis Darzacq) à la Place Émilie-Gamelin (Métro Berri-UQAM), du 3 novembre 2009 au 1er novembre 2010.
Nance Ackerman présente « Wathahine : photographies de femmes autochtones » au Musée McCord du 10 mars 2010 au 15 mai 2011.
jeudi 15 avril 2010
mercredi 14 avril 2010
Le phénomène paparazzi analysé par l'Agence VII
Jessica Dummock, une photographe de l'Agence VII, visite l'univers des paparazzi sous un angle sexuel.
Malheureusement, cette perception est devenue de plus en plus présente dans l'imaginaire collectif et nuit à l'ensemble de la collectivité des photographes. Il y a toujours eu des photographes spécialisés dans la culture "people". Que ce soit Ron Galella, qui était à Montréal il n'y a pas si longtemps, ou encore Tazio Secchiaroli (le père des paparazzi) ce genre d'attitude photographique a toujours existé.
Fellini nous présentait le phénomène émergeant dans la Dolce Vita en 1960. Dans quelle mesure la médiatisation qui entoure ces photographes est représentative de la profession?
Une ambiguïté qui ne sera pas simple à rectifier.
Malheureusement, cette perception est devenue de plus en plus présente dans l'imaginaire collectif et nuit à l'ensemble de la collectivité des photographes. Il y a toujours eu des photographes spécialisés dans la culture "people". Que ce soit Ron Galella, qui était à Montréal il n'y a pas si longtemps, ou encore Tazio Secchiaroli (le père des paparazzi) ce genre d'attitude photographique a toujours existé.
Fellini nous présentait le phénomène émergeant dans la Dolce Vita en 1960. Dans quelle mesure la médiatisation qui entoure ces photographes est représentative de la profession?
Une ambiguïté qui ne sera pas simple à rectifier.
lundi 12 avril 2010
Expo des finissants en photo de Concordia
source Simon M. Benedict
C'est avec grand plaisir que je vous invite au vernissage de mon exposition de fin de bacc.: INDEX. Vous y verrez les oeuvres des 36 finissants du département de photographie de l'université Concordia, dont ma nouvelle série vidéo intitulée "Arts divinatoires". Si vous ne pouvez pas venir le soir du vernisage, l'exposition aura lieu jusqu'au 1er mai.
Voici les infos pour savoir où aller, et quand:
INDEX --> du 16 avril au 1er mai 2010
Les Ateliers Jean Brillant
661 Rose-de-Lima
Montréal
(station Lionel-Groulx)
Vernissage:
vendredi 16 avril de 18h - minuit
Galerie ouverte:
mardi, mercredi et samedi de midi à 17h
jeudi et vendredi de midi à 20h
En espérant vous y voir en grand nombre!
Simon M. Benedict
C'est avec grand plaisir que je vous invite au vernissage de mon exposition de fin de bacc.: INDEX. Vous y verrez les oeuvres des 36 finissants du département de photographie de l'université Concordia, dont ma nouvelle série vidéo intitulée "Arts divinatoires". Si vous ne pouvez pas venir le soir du vernisage, l'exposition aura lieu jusqu'au 1er mai.
Voici les infos pour savoir où aller, et quand:
INDEX --> du 16 avril au 1er mai 2010
Les Ateliers Jean Brillant
661 Rose-de-Lima
Montréal
(station Lionel-Groulx)
Vernissage:
vendredi 16 avril de 18h - minuit
Galerie ouverte:
mardi, mercredi et samedi de midi à 17h
jeudi et vendredi de midi à 20h
En espérant vous y voir en grand nombre!
Simon M. Benedict
samedi 10 avril 2010
Demain, marché aux puces photo
C'est demain dimanche, le marché aux puces photo au Holliday Inn de Pointe-Claire.
voir infos
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Mon vieux Contax qui fut à une époque la seule compétition sérieuse aux Leica et sous certains aspects supérieurs. photo Martin Benoit
vendredi 9 avril 2010
Google et les photographes
Les photographes sont mécontents de la numérisation de leurs photos sans autorisation par Google.
Une autre guerre du droit d'auteur contre un géant qui a dû y penser avant, mais qui a aussi la force financière de mener cette guerre.
merci Nathalie
Déjeuner média avec CNW
source Canada News Wire
La nouvelle en pleine révolution
Venez rencontrer les invités du petit-déjeuner de CNW, Roland-Yves Carignan, directeur de l’information du Devoir, et Michelle Richardson, chef des nouvelles locales à The Gazette, qui expliqueront comment les changements ont touché deux des plus importants médias au Québec. Le petit-déjeuner sera animé par Bernard Motulsky, titulaire de la Chaire de relations publiques et communication marketing de l’UQAM. Venez y découvrir comment un professionnel des relations publiques doit s’y prendre pour établir des relations fructueuses dans ce nouvel environnement médiatique.
mardi 6 avril 2010
Objectif confondu pour une arme
Hier, le 5 avril, une vidéo militaire décrivant le mitraillage d'un photographe de Reuters par l'armée américaine a été rendue publique.
Un organisme a tenté depuis plusieurs mois d'obtenir cette vidéo qui présente une erreur d'interprétation par des militaires en hélicoptère.
Selon Reuters, cette vidéo rend explicites les risques du métier de photographe de presse.
Que conclure, que comprendre en tant que civil dans nos fauteuils devant nos ordis? Que les dispositifs optiques de détermination de cibles ne sont pas assez précis, que les décisions d'"engager" une cible sont faites de façons précoces, que la guerre c'est la guerre et que tout ne peut être vérifié avec 100% d'assurance, que de transporter une optique volumineuse et longue peut prêter à de dangereuses confusions, que si on photographie la guerre, il faut porter un gilet pare-balles (aucun gilet pare-balles n’aurait résisté aux feux des mitraillettes aux projectiles de 30mm à plus de 10 par seconde)?
Un organisme a tenté depuis plusieurs mois d'obtenir cette vidéo qui présente une erreur d'interprétation par des militaires en hélicoptère.
Selon Reuters, cette vidéo rend explicites les risques du métier de photographe de presse.
Que conclure, que comprendre en tant que civil dans nos fauteuils devant nos ordis? Que les dispositifs optiques de détermination de cibles ne sont pas assez précis, que les décisions d'"engager" une cible sont faites de façons précoces, que la guerre c'est la guerre et que tout ne peut être vérifié avec 100% d'assurance, que de transporter une optique volumineuse et longue peut prêter à de dangereuses confusions, que si on photographie la guerre, il faut porter un gilet pare-balles (aucun gilet pare-balles n’aurait résisté aux feux des mitraillettes aux projectiles de 30mm à plus de 10 par seconde)?
dimanche 4 avril 2010
Sac dissimulateur de caméra
Une compagnie fabrique un sac qui permet d'y insérer une caméra de telle sorte que l'on puisse l'utiliser sans la sortir du sac.
L'idée est d'obtenir des images difficiles à obtenir autrement.
Ça me rappelle les adaptateurs 45 degrés que l'on vissait devant les objectifs pour donner l'impression que l'on photographiait dans une autre direction.
Quelle est l'éthique derrière cette approche? Il me semble que si l'on est découvert avec un tel sac, c'est un risque encore plus élevé que de n'avoir pas dissimulé la caméra...
L'idée est d'obtenir des images difficiles à obtenir autrement.
Ça me rappelle les adaptateurs 45 degrés que l'on vissait devant les objectifs pour donner l'impression que l'on photographiait dans une autre direction.
Quelle est l'éthique derrière cette approche? Il me semble que si l'on est découvert avec un tel sac, c'est un risque encore plus élevé que de n'avoir pas dissimulé la caméra...
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