samedi 6 décembre 2008

Point de salut sans la vidéo

C'est un peu ce qui ressort d'un atelier qui a eu lieu ce matin au congrès annuel de la FPJQ.

Les quatre conférenciers, André Forget, photographe au Ottawa Sun, Martin Tremblay photojournaliste à La Presse, François Laplante-Delagrave, photographe indépendant et Phil Carpenter photographe à The Gazette s'entendaient pour dire qu'à l'heure actuelle dans le monde des médias web on ne peut éviter la vidéo en tant que photographe.

Que ce soit les diaporamas sonores ou les capsules vidéo, les grands et moins grands médias réclament ces contenants. Est-ce qu'un photographe peut maîtriser ces deux plateformes reste à être démontré, mais les invités semblaient nous faire comprendre que lorsque bien orchestré, il était réaliste de construire des documents valables. Le défi est de comprendre comment choisir le point de vue de l'histoire et comment se différencier de la télé traditionnelle qui elle, possède des équipes importantes pour faire le travail.

Se concentrer sur les personnages et l'émotion dans une capsule d’une à deux minutes est le chemin du succès.

J'ai remarqué une bien plus grande ouverture, de la part des photographes présents relativement à l'an dernier à pareille date. Peut-être que l'adoption d'ententes « civilisées » entre les employeurs et syndiqués a atténué les appréhensions de plusieurs.

François Laplante-Delagrave et Phil Carpenter découvrant les vertus de la caméra hybride Canon 5D mkII, photo Martin Benoit

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