samedi 30 janvier 2010
Les recettes médiatiques
Un reporter de la BBC résume en deux minutes comment construire une capsule vidéo pour les nouvelles.
Florian Sauvageau mentionnait lors du lancement du film "Derrière la toile" que ce sont ces "formatages" que l'on enseigne en journalisme qui sont probablement partiellement la cause de la lente mort des grands médias.
EMBED-How To Report The News - Watch more free videos
Florian Sauvageau mentionnait lors du lancement du film "Derrière la toile" que ce sont ces "formatages" que l'on enseigne en journalisme qui sont probablement partiellement la cause de la lente mort des grands médias.
merci Rod pour ta vigilance
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jeudi 28 janvier 2010
Images de synthèse
Pour ceux qui doutent de la qualité des images de synthèse, ce vidéo qui circule sur le web depuis un moment est un exemple impressionnant. Tout ce que vous voyez est synthétique et généré par ordinateur.
The Third & The Seventh from Alex Roman on Vimeo.
suivi du Making of
Compositing Breakdown (T&S) from Alex Roman on Vimeo.
Jean-François Bouchard à la Galerie SAS
source Galerie SAS
Du jeudi 04 février au samedi 13 mars 2010, la galerie [sas] présente une nouvelle série d’œuvres photographiques de grand format du photographe Jean-François Bouchard.
Jean-François Bouchard s’intéresse aux mondes parallèles qui nous entourent et qui sont mus par des gens que les nouveaux moyens de communication ont sortis de leur marginalité en créant des liens sociaux étroits. Dans ce cadre, Still Life explore les relations étonnantes que des individus entretiennent, au-delà de la sexualité, avec des poupées érotiques d’un réalisme troublant. Traitées comme des conjointes à part entière, ces sosies de femmes partagent le quotidien affectif d’un nombre d’hommes de plus en plus grand. Les images en couleur présentent des portraits de très grands format de ces êtres de latex. La démarche du photographe reste ancrée dans une approche documentaire tout en adoptant un point de vue plus abstrait et contemporain des sujets traités.
Jean-François Bouchard parcourt le monde à la recherche de gens avec des intérêts et des styles de vie hors de l’ordinaire. Il est fasciné par les nouvelles formes d’interactions sociales et comment celles-ci ont un effet sur ces gens qui, autrement, seraient marginalisés. Sa première exposition de photographie, Volvere, à la Galerie Blow-Up en 2003, a été chaleureusement accueillie par les médias. En 2009, il a présenté l’exposition Sociétés secrètes, une exposition à grande échelle tenue à la Fonderie Darling qui a attiré plus de 3000 personnes. Jean-François est aussi le président de Sid Lee, une agence de créativité réunissant 300 professionnels travaillant à Montréal, à Amsterdam et à Paris.
Still Life : Espace 1, 2 et 3 de la galerie [sas] du jeudi 4 février au samedi 13 mars 2010
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
Du jeudi 04 février au samedi 13 mars 2010, la galerie [sas] présente une nouvelle série d’œuvres photographiques de grand format du photographe Jean-François Bouchard.
Jean-François Bouchard s’intéresse aux mondes parallèles qui nous entourent et qui sont mus par des gens que les nouveaux moyens de communication ont sortis de leur marginalité en créant des liens sociaux étroits. Dans ce cadre, Still Life explore les relations étonnantes que des individus entretiennent, au-delà de la sexualité, avec des poupées érotiques d’un réalisme troublant. Traitées comme des conjointes à part entière, ces sosies de femmes partagent le quotidien affectif d’un nombre d’hommes de plus en plus grand. Les images en couleur présentent des portraits de très grands format de ces êtres de latex. La démarche du photographe reste ancrée dans une approche documentaire tout en adoptant un point de vue plus abstrait et contemporain des sujets traités.
Jean-François Bouchard parcourt le monde à la recherche de gens avec des intérêts et des styles de vie hors de l’ordinaire. Il est fasciné par les nouvelles formes d’interactions sociales et comment celles-ci ont un effet sur ces gens qui, autrement, seraient marginalisés. Sa première exposition de photographie, Volvere, à la Galerie Blow-Up en 2003, a été chaleureusement accueillie par les médias. En 2009, il a présenté l’exposition Sociétés secrètes, une exposition à grande échelle tenue à la Fonderie Darling qui a attiré plus de 3000 personnes. Jean-François est aussi le président de Sid Lee, une agence de créativité réunissant 300 professionnels travaillant à Montréal, à Amsterdam et à Paris.
Still Life : Espace 1, 2 et 3 de la galerie [sas] du jeudi 4 février au samedi 13 mars 2010
372 rue Sainte-Catherine Ouest, espace 416
photo Jean-François Bouchard
mardi 26 janvier 2010
Encan silencieux de photographie pour Haïti
Mercredi le 3 Février prochain, une vingtaine de photographes montréalais se réuniront dans l'espace de Shoot Studio afin d'offrir leurs oeuvres pour un encan silencieux.
Sur place, vous pourrez miser sur une quarantaine d'oeuvres exposées.
L'encan silencieux débutera à 17h pour se terminer à 20h.
Les fonds ainsi recueillis seront remis à l'organisme CECI pour venir en aide à Haïti.
Date : Mercredi 3 février 2010
Heure : 17h à 20h
Lieu : Shoot Studio, 6330 St-Hubert #300
Photographes invités :
Jean-François Bérubé
Guillaume Simoneau
Jocelyn Michel
John Londono
Nik Mirus
Aislinn Leggett
Yann Ostiguy
Maxyme G. Delisle
Jimmi Francoeur
Sylvain Dumais
Simon Duhamel
Christophe Colette
Pierre Manning
Jean-François Gratton
Martin Girard
Jean-François Lemire
Hans Laurendeau
Jerome Guibord
Anouk Lessard
Sara A Tremblay
Marc Montplaisir
The Sanchez Brothers
Leda & St-Jacques
Marie-Claude Hamel
Sur place, vous pourrez miser sur une quarantaine d'oeuvres exposées.
L'encan silencieux débutera à 17h pour se terminer à 20h.
Les fonds ainsi recueillis seront remis à l'organisme CECI pour venir en aide à Haïti.
Date : Mercredi 3 février 2010
Heure : 17h à 20h
Lieu : Shoot Studio, 6330 St-Hubert #300
Photographes invités :
Jean-François Bérubé
Guillaume Simoneau
Jocelyn Michel
John Londono
Nik Mirus
Aislinn Leggett
Yann Ostiguy
Maxyme G. Delisle
Jimmi Francoeur
Sylvain Dumais
Simon Duhamel
Christophe Colette
Pierre Manning
Jean-François Gratton
Martin Girard
Jean-François Lemire
Hans Laurendeau
Jerome Guibord
Anouk Lessard
Sara A Tremblay
Marc Montplaisir
The Sanchez Brothers
Leda & St-Jacques
Marie-Claude Hamel
lundi 25 janvier 2010
Tremblement de nerfs de Pat Sanfaçon
Patrick Sanfaçon, photographe à La Presse et de retour d'Haïti, nous parle de ses états d'âme frais sur son blogue.
Toujours la question de rester en équilibre devant la complexité de ce que l'on voit et que l'on découvre et essaie de comprendre simultanément.
Il faut aussi pousser sur le piton et faire du travail intelligent et pertinent.
Un sport extrême.
Toujours la question de rester en équilibre devant la complexité de ce que l'on voit et que l'on découvre et essaie de comprendre simultanément.
Il faut aussi pousser sur le piton et faire du travail intelligent et pertinent.
Un sport extrême.
Patrick Sanfaçon à Haïti, photo Hugo Meunier
vendredi 22 janvier 2010
Manif à Londres contre la répression envers les photographes.
Un gros mouvement a été amorcé afin d'organiser une manifestation à Trafalgar Square à Londres afin de manifester son désacord envers le traitement que recoivent certains photographes lorsqu'ils photographient des édifices publics.
Selon le site de l'événement sur facebook, plus de 1300 participants seront présents à cette manifestation.
Selon le site de l'événement sur facebook, plus de 1300 participants seront présents à cette manifestation.
jeudi 21 janvier 2010
La polémique de l'émo-journalisme
Le journal Le Monde publie une réflexion intéressante sur l'utilisation de l'émotion comme stratégie journalistique pour construire leurs reportages.
Une palette d'exemples est présentée en relation avec la situation actuelle à Haïti.
C'est très difficile de juger ce type de reportage si vous n'avez pas été sur les lieux pour juger par vous-même la meilleure attitude à adopter. Joindre rendre service immédiatement et faire son travail de reporter peut être une solution à l'occasion.
La misère des autres reste une "marchandise" journalistique et paradoxalement, la raison pour laquelle l'aide arrive souvent. On protège ce que l'on connait (dixit feu Steve Irwin The Crocodile Hunter). La mission des médias est en autre de faire connaître.
Où étaient les médias lors des 5 millions de morts en RDC?
Une palette d'exemples est présentée en relation avec la situation actuelle à Haïti.
C'est très difficile de juger ce type de reportage si vous n'avez pas été sur les lieux pour juger par vous-même la meilleure attitude à adopter. Joindre rendre service immédiatement et faire son travail de reporter peut être une solution à l'occasion.
La misère des autres reste une "marchandise" journalistique et paradoxalement, la raison pour laquelle l'aide arrive souvent. On protège ce que l'on connait (dixit feu Steve Irwin The Crocodile Hunter). La mission des médias est en autre de faire connaître.
Où étaient les médias lors des 5 millions de morts en RDC?
dimanche 17 janvier 2010
La shot d'Ivanoh fait le cover du Time
Ivanoh Demers, photographe à La Presse et ancien du dpt de photo au Vieux, fait le cover du Time.
Ivanoh en aura beaucoup à raconter à son retour, il était à Haïti pour un autre reportage au moment du tremblement de terre. J'espère pouvoir vous fournir une entrevue.
Patrick Sanfaçon et David Boily de La Presse l'ont rejoint. Martin Bouffard de Rue Frontenac y est aussi.
À suivre
Ivanoh en aura beaucoup à raconter à son retour, il était à Haïti pour un autre reportage au moment du tremblement de terre. J'espère pouvoir vous fournir une entrevue.
Patrick Sanfaçon et David Boily de La Presse l'ont rejoint. Martin Bouffard de Rue Frontenac y est aussi.
À suivre
samedi 16 janvier 2010
Steve Lyons au Centre des arts actuels Skol
source Skol
La programmation d’hiver de Skol débute le 8 janvier avec une exposition personnelle de l’artiste Steve Lyons. Se poursuivant jusqu’au 13 février, cette installation évolutive et éphémère explore les notions de construction de l’image et en expose les pièges. À travers une traduction en trois dimensions d’une photo d’archives des chasseurs du monstre du Loch Ness, l’artiste s’investit dans une re-création mimétique, performative et pseudo-scientifique de cette polémique au moyen de matériaux récupérés et de matériel documentaire dans le but d’ébranler notre crédulité face au visuel. Le vernissage de l’exposition aura lieu le samedi 16 janvier, de 15h à 17h. Cette exposition est présentée dans un texte de Bernard Schütze dont voici un extrait :
«Entre les composantes instables et bancales de l’installation, issue d’un processus temporel, et l’image solide qui apparaît continuellement à l’écran, nous sommes confrontés à deux réalités contradictoires : un assemblage non illusionniste, semblable à rien, qu’on observe directement de plusieurs points de vue en tant que témoin oculaire ; et une image mimétique et solidifiée (même si elle est en temps réel), électroniquement véhiculée, qui expose ouvertement ce qui est caché.»
Vernissage
le samedi 16 janvier à 15h00
Rencontre avec l’artiste
le mercredi 20 janvier, de 17h30 à 19h00. voir le site
La programmation d’hiver de Skol débute le 8 janvier avec une exposition personnelle de l’artiste Steve Lyons. Se poursuivant jusqu’au 13 février, cette installation évolutive et éphémère explore les notions de construction de l’image et en expose les pièges. À travers une traduction en trois dimensions d’une photo d’archives des chasseurs du monstre du Loch Ness, l’artiste s’investit dans une re-création mimétique, performative et pseudo-scientifique de cette polémique au moyen de matériaux récupérés et de matériel documentaire dans le but d’ébranler notre crédulité face au visuel. Le vernissage de l’exposition aura lieu le samedi 16 janvier, de 15h à 17h. Cette exposition est présentée dans un texte de Bernard Schütze dont voici un extrait :
«Entre les composantes instables et bancales de l’installation, issue d’un processus temporel, et l’image solide qui apparaît continuellement à l’écran, nous sommes confrontés à deux réalités contradictoires : un assemblage non illusionniste, semblable à rien, qu’on observe directement de plusieurs points de vue en tant que témoin oculaire ; et une image mimétique et solidifiée (même si elle est en temps réel), électroniquement véhiculée, qui expose ouvertement ce qui est caché.»
Vernissage
le samedi 16 janvier à 15h00
Rencontre avec l’artiste
le mercredi 20 janvier, de 17h30 à 19h00. voir le site
vendredi 15 janvier 2010
Pascale Buissières, photographe dans Mirador
Pascale Buissières tient le rôle d'une photographe de presse affectée à couvrir l'actualité dans la nouvelle série de Radio-Canada, Mirador.
Historiquement, la représentation cinématographique d'une profession souvent méconnue du public a influencé l'attrait pour cette profession. On a qu'à penser aux séries américaines sur les techniques judiciaires comme Dexter, CSI, The Wire et autres pour constater l'engouement pour ces professions. Je peux vous le confirmer, ma douce moitié est en charge du recrutement au CVM et elle entend ces histoires tous les jours. Six Feet Under, pour la thanatologie, etc.
Il y a plusieurs années, le film Blow Up avait « glamorisé » le métier de photographe et toute une génération avait rêvé de devenir photographe suite au visionnement du film et certains le sont effectivement devenus.
Depuis plusieurs années, les photographes ne sont pas vraiment des héros dans les séries télévisées ou grands films. Je dirais même que c'est souvent le contraire (on a qu'à penser au photographe dans la série Les Lavigueur).
Je n'ai visionné qu'un seul épisode de cette nouvelle série afin de m'assurer que la photographe n'était pas trop niaiseuse et j'ai l'impression qu'elle aura un certain sens éthique et que la profession ne passera pas trop dans le moulin à viande. Par contre, les firmes de relation publique en prendront pour leur rhume... J'ai été irrité par la façon dont travaillent les autres photographes qui sont représentés (tenu de l'appareil photo, type d'appareil photo, attitude, etc.), mais c'est probablement vrai pour tout ce que l'on voit dans les séries où il n'y a pas les moyens pour engager des consultants pour tous les aspects.
On a besoin d'une publicité positive à l'égard de la profession pour attirer le bon monde dans ce domaine.
Si vous voulez voir un film précis sur la façon de travailler des photographes, Ali de Michael Mann me semble très fidèle à ce que j'ai compris de cette époque.
Historiquement, la représentation cinématographique d'une profession souvent méconnue du public a influencé l'attrait pour cette profession. On a qu'à penser aux séries américaines sur les techniques judiciaires comme Dexter, CSI, The Wire et autres pour constater l'engouement pour ces professions. Je peux vous le confirmer, ma douce moitié est en charge du recrutement au CVM et elle entend ces histoires tous les jours. Six Feet Under, pour la thanatologie, etc.
Il y a plusieurs années, le film Blow Up avait « glamorisé » le métier de photographe et toute une génération avait rêvé de devenir photographe suite au visionnement du film et certains le sont effectivement devenus.
Depuis plusieurs années, les photographes ne sont pas vraiment des héros dans les séries télévisées ou grands films. Je dirais même que c'est souvent le contraire (on a qu'à penser au photographe dans la série Les Lavigueur).
Je n'ai visionné qu'un seul épisode de cette nouvelle série afin de m'assurer que la photographe n'était pas trop niaiseuse et j'ai l'impression qu'elle aura un certain sens éthique et que la profession ne passera pas trop dans le moulin à viande. Par contre, les firmes de relation publique en prendront pour leur rhume... J'ai été irrité par la façon dont travaillent les autres photographes qui sont représentés (tenu de l'appareil photo, type d'appareil photo, attitude, etc.), mais c'est probablement vrai pour tout ce que l'on voit dans les séries où il n'y a pas les moyens pour engager des consultants pour tous les aspects.
On a besoin d'une publicité positive à l'égard de la profession pour attirer le bon monde dans ce domaine.
Si vous voulez voir un film précis sur la façon de travailler des photographes, Ali de Michael Mann me semble très fidèle à ce que j'ai compris de cette époque.
Chantal Maes à la Galerie VOX
source Galerie VOX
Cette exposition est une collaboration entre VOX, centre de l’image comtemporaine et l’espace photographique Contretype à Bruxelles et s’inscrit dans le projet de coopération Wallonie-Bruxelles/Québec.
Description exhaustive sur le site de VOX
Du 16 janvier au 27 février, vernissage le 16 janvier à 16h en présence de l'artiste.
Cette exposition est une collaboration entre VOX, centre de l’image comtemporaine et l’espace photographique Contretype à Bruxelles et s’inscrit dans le projet de coopération Wallonie-Bruxelles/Québec.
Description exhaustive sur le site de VOX
Du 16 janvier au 27 février, vernissage le 16 janvier à 16h en présence de l'artiste.
Extrait de la série Voyage Out, 2003-2009, tirage numérique aux pigments, Chantal Maes
jeudi 14 janvier 2010
Vernissage tranquille de l'expo Desilets 09
Ce soir avait lieu le vernissage de l'exposition Antoine Desilets, édition 2009 à la Maison de la Culture Ahuntsic-Cartierville.
Un vernissage tranquille en la présence d'Antoine Desilets, qui a aujourd'hui 83 ans et qui se porte suffisamment bien pour courir les vernissages. Plusieurs en ont profité pour rencontrer ce "père" du photojournalisme québécois et lui mentionner une fois de plus l'influence qu'il a eu sur eux par l'intermédiaire des populaires bouquins qu'il a publié sur le sujet.
Un vernissage tranquille en la présence d'Antoine Desilets, qui a aujourd'hui 83 ans et qui se porte suffisamment bien pour courir les vernissages. Plusieurs en ont profité pour rencontrer ce "père" du photojournalisme québécois et lui mentionner une fois de plus l'influence qu'il a eu sur eux par l'intermédiaire des populaires bouquins qu'il a publié sur le sujet.
Antoine Desilets et Miguel Legault et sa compagne, gagnant dans la catégorie portraits et finaliste dans la catégorie sport. photo Martin Benoit
mercredi 13 janvier 2010
Avatar 3D et la photographie
En quoi Avatar affecte la photographie?
Ceux qui me connaissent, savent mon intérêt pour le 3D et mon implication dans ce secteur.
Avatar est au cinéma 3D ce que Disney a été à l'animation c'est-à-dire un pas en avant vers un raffinement d'une technologie déjà connue. Au dernier salon de la technologie CES à Las Vegas, l'excitation était autour des téléviseurs 3D. Je joue rarement au devin, mais cette fois-ci j'ai le goût de mettre mon grain de sel dans les prédictions 3D.
Ce qui m'a impressionné dans Avatar est la qualité des rendus et du « ray tracing » au niveau de la simulation de la qualité picturale des images comparativement aux images qui ne sont pas de synthèses. La capacité des nouveaux logiciels à simuler les textures physiques, atmosphériques, optiques est telle, qu'il devient de plus en plus difficile de discerner le synthétique du réel.
Dans un billet précédent, je parlais du logiciel Maxwell Render et sa pénétration en photographie. En particulier dans le monde de la photographie publicitaire où il permet de faire une promotion d'un produit avant qu'il soit manufacturé, entre autres. On peut imaginer à l'infini les avantages de gérer du virtuel plutôt que du réel.
C'est ce qu'Avatar démontre. Pour ce qui est de la propagation à court terme du 3D (et ici je fais référence au visionnement en stéréoscopie) dans les foyers, je dirais que cette tentative a été une séquence d'échecs depuis plus de 100 ans. Le cinéma 3D ne date pas d'hier et les technologies de projections qui fonctionnaient se sont déclinées les unes après les autres. Pourquoi le 3D ne pénètre pas davantage dans notre vie?
Ce que j'ai été forcé de constater est que la vision 3D (stéréoscopique) n'émeut pas les gens tant que ça et ce n'est pas une histoire de technologie bonne ou mauvaise. La majorité du public est quasi insensible au phénomène stéréoscopique. Ce n'est pas qu'ils ne le perçoivent pas, c'est qu'il n'en voit pas l'intérêt. Le parallèle que j'aime faire est avec le son stéréophonique. Qui écoute la stéréophonie du son qui est enregistré sur la majorité des CD que nous achetons. Il n'y a pas de problème technologiques et nous sommes tous équipés de matériel de diffusion stéréo, mais l'apprécions-nous et serions nous prêt à faire des dépenses extraordinaires pour y avoir accès. On peut pousser le raisonnement avec le Surround Sound à 5 haut-parleurs. Qui écoute vraiment le Surround? Dans le cas de la stéréoscopie, les efforts technologiques pour y avoir accès sont beaucoup plus grands que la stéréophonie et entraîne plein de limites.
Le pas en avant, est qu'une entente a été convenue avec les « majors » sur une norme technologique qui sera utilisée dans les salles. Une fois l’« hype » passé que restera-t-il?
Photoshop CS4 Extended avec son module 3D de plus en plus performant nous indique que le mariage de la photo et de l'image de synthèse 3D est de plus en plus proche de nous tous.
Pourquoi photographier un objet réel quand on peut faire un rendu parfaitement sous contrôle et l'insérer dans un environnement de façon impeccable?
Je suspecte que le secteur du catalogue sera un des premiers frappé par cette avance technologique qui fait déjà son chemin depuis quelques années dans ce secteur.
Ceux qui me connaissent, savent mon intérêt pour le 3D et mon implication dans ce secteur.
Avatar est au cinéma 3D ce que Disney a été à l'animation c'est-à-dire un pas en avant vers un raffinement d'une technologie déjà connue. Au dernier salon de la technologie CES à Las Vegas, l'excitation était autour des téléviseurs 3D. Je joue rarement au devin, mais cette fois-ci j'ai le goût de mettre mon grain de sel dans les prédictions 3D.
Ce qui m'a impressionné dans Avatar est la qualité des rendus et du « ray tracing » au niveau de la simulation de la qualité picturale des images comparativement aux images qui ne sont pas de synthèses. La capacité des nouveaux logiciels à simuler les textures physiques, atmosphériques, optiques est telle, qu'il devient de plus en plus difficile de discerner le synthétique du réel.
Dans un billet précédent, je parlais du logiciel Maxwell Render et sa pénétration en photographie. En particulier dans le monde de la photographie publicitaire où il permet de faire une promotion d'un produit avant qu'il soit manufacturé, entre autres. On peut imaginer à l'infini les avantages de gérer du virtuel plutôt que du réel.
C'est ce qu'Avatar démontre. Pour ce qui est de la propagation à court terme du 3D (et ici je fais référence au visionnement en stéréoscopie) dans les foyers, je dirais que cette tentative a été une séquence d'échecs depuis plus de 100 ans. Le cinéma 3D ne date pas d'hier et les technologies de projections qui fonctionnaient se sont déclinées les unes après les autres. Pourquoi le 3D ne pénètre pas davantage dans notre vie?
Ce que j'ai été forcé de constater est que la vision 3D (stéréoscopique) n'émeut pas les gens tant que ça et ce n'est pas une histoire de technologie bonne ou mauvaise. La majorité du public est quasi insensible au phénomène stéréoscopique. Ce n'est pas qu'ils ne le perçoivent pas, c'est qu'il n'en voit pas l'intérêt. Le parallèle que j'aime faire est avec le son stéréophonique. Qui écoute la stéréophonie du son qui est enregistré sur la majorité des CD que nous achetons. Il n'y a pas de problème technologiques et nous sommes tous équipés de matériel de diffusion stéréo, mais l'apprécions-nous et serions nous prêt à faire des dépenses extraordinaires pour y avoir accès. On peut pousser le raisonnement avec le Surround Sound à 5 haut-parleurs. Qui écoute vraiment le Surround? Dans le cas de la stéréoscopie, les efforts technologiques pour y avoir accès sont beaucoup plus grands que la stéréophonie et entraîne plein de limites.
Le pas en avant, est qu'une entente a été convenue avec les « majors » sur une norme technologique qui sera utilisée dans les salles. Une fois l’« hype » passé que restera-t-il?
Photoshop CS4 Extended avec son module 3D de plus en plus performant nous indique que le mariage de la photo et de l'image de synthèse 3D est de plus en plus proche de nous tous.
Pourquoi photographier un objet réel quand on peut faire un rendu parfaitement sous contrôle et l'insérer dans un environnement de façon impeccable?
Je suspecte que le secteur du catalogue sera un des premiers frappé par cette avance technologique qui fait déjà son chemin depuis quelques années dans ce secteur.
Exposition Antoine Desilets
L'exposition Antoine Desilets 2009 se tiendra à la Maison de la Culture Ahuntsic-Cartierville dès vendredi. Cette exposition présente les meilleures photos de presse de l'année 2009 par les membres de la FPJQ.
L'exposition se tiendra jusqu'au 20 février
10 300 Lajeunesse, 1er étage
dimanche 10 janvier 2010
Salon Marion-nous et les agents
Hier, nous étions au Salon Marions-nous pour tourner un petit reportage sur les tendances en photographie de mariage au Québec.
Ce qui semble ressortir de nos entrevues est que le marché s'est stabilisé pour plusieurs, par opposition à la grande demande des dernières années. Que le style photojournalistique est toujours en grande demande, mais que peu réussissent à vraiment livrer la marchandise et que finalement, se trouver un « agent » peut être une solution à explorer. Certaines compagnies se spécialisent dans la planification de grands mariages et ils agissent en tant qu'agent auprès de différents photographes de style différent.
Bonne nouvelle, les mononcles avec les gros kodaks sont moins populaires qu'avant et les clients semblent revenir à la qualité d'un professionnelle.
Ce qui semble ressortir de nos entrevues est que le marché s'est stabilisé pour plusieurs, par opposition à la grande demande des dernières années. Que le style photojournalistique est toujours en grande demande, mais que peu réussissent à vraiment livrer la marchandise et que finalement, se trouver un « agent » peut être une solution à explorer. Certaines compagnies se spécialisent dans la planification de grands mariages et ils agissent en tant qu'agent auprès de différents photographes de style différent.
Bonne nouvelle, les mononcles avec les gros kodaks sont moins populaires qu'avant et les clients semblent revenir à la qualité d'un professionnelle.
détail du salon, photo par Martin Benoit
vendredi 8 janvier 2010
Canwest sous la protection de la faillite...
Canwest, qui possède entre autres le quotidien montréalais The Gazette, vient de se placer sous la protection de la faillite.
Tout ça confirme la précarité des quotidiens ces jours-ci. Il va falloir que le mode de financement des quotidiens soit revu en profondeur.
Ils tombent comme des feuilles mortes en Amérique du Nord. Un phénomène moins rapide en Europe.
Tout ça confirme la précarité des quotidiens ces jours-ci. Il va falloir que le mode de financement des quotidiens soit revu en profondeur.
Ils tombent comme des feuilles mortes en Amérique du Nord. Un phénomène moins rapide en Europe.
Francis Vachon et le droit photographique
Le photographe Francis Vachon de Québec, a publié sur son blogue un excellent document qui résume bien la jurisprudence sur le droit photographique au Québec.
Ce n'est pas un document légal, mais une bonne piste de départ pour comprendre le droit à l'image est les attitudes à adopter relativement à ce dernier
merci Sandra pour l'info
Ce n'est pas un document légal, mais une bonne piste de départ pour comprendre le droit à l'image est les attitudes à adopter relativement à ce dernier
merci Sandra pour l'info
jeudi 7 janvier 2010
Soirée créative CAPIC avec Claude Charlebois
source CAPIC
Cette soirée se veut un retour aux sources de la Créativité. Une approche autant philosophique que pratique à travers la perspective d'un créatif visuel. Aucune exploration technique, pas de pixels ou de courbes gamma ou de nouveaux capteurs numériques, mais un voyage expansif vers notre terrain de jeu préféré en s'attardant sur le pourquoi et le comment de définir noter propre vision et de vivre un mode de vie plus créatif.
Claude Charlebois, membre CAPIC, s'intéresse à la Créativité et au potentiel humain depuis 40 ans. S'exprimant initialement par la peinture il réalise ensuite que la photographie lui offre une dynamique créative qui correspond mieux à sa vision.
Il se plait à dire que si Léonard de Vinci était de notre siècle, il serait photographe.
Réservations
Cette soirée se veut un retour aux sources de la Créativité. Une approche autant philosophique que pratique à travers la perspective d'un créatif visuel. Aucune exploration technique, pas de pixels ou de courbes gamma ou de nouveaux capteurs numériques, mais un voyage expansif vers notre terrain de jeu préféré en s'attardant sur le pourquoi et le comment de définir noter propre vision et de vivre un mode de vie plus créatif.
Claude Charlebois, membre CAPIC, s'intéresse à la Créativité et au potentiel humain depuis 40 ans. S'exprimant initialement par la peinture il réalise ensuite que la photographie lui offre une dynamique créative qui correspond mieux à sa vision.
Il se plait à dire que si Léonard de Vinci était de notre siècle, il serait photographe.
Réservations
Salon Marions-nous en fin de semaine
C'est en fin de semaine qu'aura lieu le salon Marions-nous.
Leur site fait particulièrement mention de la révolution photographique dans ce domaine à Montréal.
Une bonne occasion de se mettre à jour relativement aux tendances du marché et de rencontrer la nouvelle génération de clients.
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